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| Saladin Öcalan, "The Ocelot" | |
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Saladin Öcalan The Ocelot - Chef de station CIA
Nombre de messages : 37 Classe : Le Gunner Date d'inscription : 17/10/2008
Feuille de personnage Points de Vie: (50/50) Munitions: (7/7) Points d'Action: (1/1)
| Sujet: Saladin Öcalan, "The Ocelot" Ven 17 Oct - 6:17 | |
| Prénoms : Salaheddine, qui signifie "la rectitude de la Foi". Il est d'origine Kurde. Nom : Öcalan. Surnom : "Saladin" (Prononcez à l'anglaise, soit "Saladine"), comme le célèbre premier dirigeant de la dynastie Ayyoubide. Ses amis américains avaient l'habitude de le surnommer "Dyne" pour raccourcir. "The Ocelot" (un petit félin qui vit en Amérique du Sud) est son nom de code.
Age : 33 ans. Classe : Le Gunner. Métier : Chef de station de la CIA à Sirius, ancien agent de l'Asayesh, les Services Secrets Kurdes. Orientation sexuelle : De base homosexuel (sans préférence Uke ou Seme d'ailleurs), mais on ne sait jamais. Il est d'ailleurs marié et a deux enfants. Il n'y a pas d'amour entre sa femme et lui, mais plutôt une étrange "complicité lesbienne" difficilement explicable. Appartenance : Us Marines Corps.
Description physique : Salaheddine est un homme efféminé, cela on ne peut pas l'ignorer. D'une grande beauté, particulièrement enclin à l'androgénie, possédant un visage ovale délicat bien qu'aux maxillaires prononcées, il est fin, bien que d'une taille moyenne, mesurant à peu près un mètre soixante dix pour une cinquantaine de kilos, avec une allure étrangement féminine et juvénile, de longues jambes, des épaules bien découplés. L'homme est naturellement glabre, peu enclin à la pilosité, ce qui accentue encore plus son allure féminine, mais aussi un air indéniablement serein. Car oui, ce qui se dégage de Salaheddine, c'est qu'il semble être la sérénité même. Agissant toujours avec un calme certain et une lenteur toute consommée, il ne semble jamais s'emporter, jamais paniquer, et ses gestes sont souvent protecteurs dans le sens paternel du terme. Il porte les cheveux longs, cascadant sur ses épaules en de lourdes boucles ondulés rousses, puisqu'il se teint les cheveux, auparavant noirs. Les yeux du Kurde sont d'un brun sombre, bordés de longs cils noirs qui lui donne un regard intense et expressif, remplaçant souvent sa parole, s'accordant parfaitement à sa peau bistre, légèrement cuivrée, démontrant des origines orientales. Salaheddine est quelques peu maniéré, mais rien de caricatural cela dit.
Son apparence très androgyne fut longtemps un sujet de raillerie et d'humiliation jusqu'à ce qu'il prenne confiance en lui et découvre que cette allure pouvait être une grande arme de séduction quand on savait en jouer. Paradoxalement, il se vêt de manière pratique mais toujours propre et élégante, portant des pantalons la plupart du temps, et des pulls simples, sans fioritures, affectionnant les chemise près du corps, parfois en femme suite à une lubie de jeunesse, mais pas tout le temps. Sa séduction reste dans ses dires et attitudes plus que dans une quelconque sophistication, bien qu'il soit physiquement particulièrement attirant pour les deux sexes, sachant se mettre en valeurs par des attitudes ou des sourires pleins de chaleur sans jamais une once de vulgarité. Il met tellement d'effort à se travestir que bien qu'il ne renie nullement son sexe de naissance, nombreux sont les hommes qui craquent pour lui en le prenant pour une femme. Salaheddine fume, mais uniquement le cigare, et cette odeur musquée à tendance à lui coller un peu à la peau. Il a quelques tics amusants comme celui de jouer avec le bouts de ses cheveux quand il réfléchit.
"Hey Rookie, come here." Description psychique : Salaheddine est une homme d'une patience à toute épreuve. "Attendre est mon métier" pourrait être sa phrase typique. Calme et posé, l'agent de la CIA est d'un naturel aimable et sociable, ne cédant pas facilement à la colère et n'étant pas du genre indécis, connaissant le poids des responsabilités. Il est quelqu'un de consciencieux, qui donne priorité à son travail et devoir envers son pays par rapport à sa vie, ses sentiments, plutôt froid et calculateur, sachant résonner de manière pragmatique et détachée s'il le faut. Chose apprise dans son métier, qui lui fit faire des choses que la morale générale pourrait réprouver, mais que la sienne soutien, au nom de la sécurité de l'Amérique. L'homme est très attaché à la notion du devoir, qui passe largement avant ses sentiments personnels en général, tout comme ceux des autres. En effet, vous avez en face de vous quelqu'un de terriblement endurci par son emploi, au comportement de base très froid. Cependant son esprit est vif, et le kurde est très adaptable, sachant rebondir sur les situations et dires, flexible. C'est un habile menteur et comédien, jouant plusieurs personnages, ayant un grand sens de la manipulation, notamment affective. Ainsi, il est capable d'avoir toute une palette de comportements, selon les gens et les situations. Il a apprit à être très détaché vis-à-vis d'autrui, gérant ses hommes dans des situations particulièrement difficiles, ou étant assigné au meurtre d'une personne, ou encore à la disparition de preuves diverses. Entre une vie perdue et cinquante autres sauvées, il n'hésite pas. C'est un homme d'action capable de prendre des décisions rapidement, sans regretter.
Il sait être aussi amical qu'autoritaire quand il le faut, et est parfaitement capable de compatir. Cela dit dans son métier, il n'a souvent pas le choix. Opportuniste et malin, Saladin a la qualité d'être un homme d'une flegme légendaire, et d'un grand sens pratique, cependant il se doit de cacher ses sentiments. Chose qu'il faut très bien. Sa véritable nature est celle d'un homme peu réactif aux autres, relativement solitaire dans sa vie privée, où il a peu d'amis. Déformation professionnelle? Cela dit c'est est un modèle de sociabilité. Souriant et souvent avenant, il a le contact facile et aime être en société, écouter les gens, même s'il n'aime pas vraiment parler de lui, et peut-être bien parler tout court. Ce n'est en effet pas un grand bavard et souvent son regard s'exprime pour lui quand les mots n'ont pas envie de venir. En effet Saladin est d'un naturel secret et discret quant à sa personne. Des sentiments, il en a, mais il ne les montre que très peu. Ses véritables sentiments. Il a apprit à ne pas s'attacher aux autres, ayant non pas le comportement d'un soldat, mais bel et bien celui d'un espion doublé d'un assassin. Ce qui ne l'empêche pas d'être humain. Il est également relativement arrogant quand on le connaît mieux, bien que ce trait de personnalité ne ressort presque jamais dans son attitude policée et toujours distinguée, sans un cheveux de travers, un peu guindée. Il a les mains sales et le sait, mais fera toujours de son mieux pour que rien ne se voit ou se sache.
"Let's rocks, Gentlemen." But/Rêves: Survivre, simplement, et aider ceux qu'il peut aider. Réussir sa mission aussi. Tellement de choses...
Attributs: Force : 5 Vigueur : 5 Dextérité : 6 Intelligence : 5 Volonté : 6 Perception : 7 Charisme : 6 Chance : 5
Points de vie : 50.
Compétences de classe : > Investigation. *** > Furtivité. ** > Comédie. ** > Armes à feu. ** > Armes de mêlée. ** > Athlétisme. *
Inventaire : > Holster : 5pts. > Appareil photo : 10pts. > Émetteur/Récepteur : 10pts. > Chargeur arme à feu vide : 10pts. > Lecteur MP3 avec dictaphone : 2Pts. > Couteau Opinel : 10 points (Force + 6). > 3 Boîtes de 30 balles pour armes de poing tout calibre : 105pts. > AMT Hardballer Long Slide, gros calibre. (7 coups, 30 de dégâts, 250pts.)
"So noise for nothing." Histoire :
I. Kurdistan : Useless.
Salaheddine Pejar Öcalan tient son nom du personnage historique Saladin, connu pour avoir été le principal adversaire des Francs installés durant le dernier tiers du XIIe siècle et l’artisan de la reconquête de Jérusalem par les Musulmans en 1187. Avec un tel nom, ses parents espérèrent qu'il serait un héritier digne et exemplaire, mais un nom ne conditionne pas le destin d'un enfant... Né dans le Kurdistan, un région d'Asie occidentale s'étendant aux confins montagneux au sud-est de la Turquie, au nord-est de l'Irak, au nord-ouest de l'Iran et sur deux petites régions au nord-est et au nord-ouest de la Syrie. Sa famille est originaire de la ville d'Erbil, capitale de la province d'Arbîl, dans ce qu'on appelle "le Kurdistan Irakien", entité fédérale et autonome du Nord de l'Irak reconnue internationalement. Il grandit dans un paysage montagneux, bordé de rivières apportant fertilité aux terres, dans une famille nombreuse dont il était le cadet, ayant trois frères plus âgés que lui. Sa mère, Hana, était une femme au foyer aimante mais d'un naturel peu communicatif. Quant à Barzan, son père, il était souvent absent, il était un soldat de la Kurdish Regional Guards, l'armée Kurde. Caporal Barzan Öcalan de la 17eme Division de la Kurdish Regional Guards, titre dont il était si fier. Son fils le plus âgé le rejoignit dans l'armée, alors que l'autre devint journaliste. Salaheddine quant à lui était encore trop jeune pour décider de ce qu'il aimerait faire plus tard, dans les jupes de sa mère. Il voulait voyager, rencontrer des gens... peut-être être un aventurier comme ses héros de films ou encore sauver des vies en tant que policier. Le choix était si vaste pour cet enfant souriant qui ne voulait pas suivre les traces de son père, ne voulant pas faire la guerre, profondément aimant du monde qui l'entourait. Celui qui finira par s'appeler Saladin était un enfant naïf et un peu inconscient, qui détestait la misère humaine.
Cependant, il ne savait pas quoi faire de sa vie, et bien qu'à un âge où les enfants jouent avec insouciance sans se préoccuper de cela, Saladin lui se trouvait inutile. Poussé par ses parents, il cherchait une passion, un but dans la vie... mais il n'en trouva pas. Il n'avait simplement goût à rien, envie de rien d'autre que de vivre simplement, sans histoire. L'enfant regardait les étoiles sans jamais chercher à les approcher, c'était sa façon de vivre : en attendant que les choses viennent, sans jamais s'intéresser à rien. L'adolescence venue, rien ne changea, ou du moins pas vraiment dans le bon sens, car la vie de Saladin ne fit que se complexifier. Ce n'était pas qu'il n'était pas beau, pas intéressant, ou encore pas bavard. Il n'avait juste envie de rien, et les filles, sujet préféré de ses amis de son âge, le laissait froid. Il discutait avec elle avec politesse et une galanterie qu'elles ne trouvèrent pas chez les autres garçons, sans pourtant jamais sortir avec aucune. Ses parents ne comprirent pas ce qu'il arrivait à leur fils, et ce dernier ne pouvait pas mieux en dire. Pourtant même nu, il n'aurait pu le cacher : il n'aimait pas les filles, cela crevait les yeux. Saladin ne chercha pas très loin, se disant que ses hormones montreraient juste plus tard que les autres, ou alors qu'il était asexuel. Il se découvrit cela dit une passion pour le sport en général et plus précisément l'athlétisme, même s'il n'était pas le plus doué de sa promotion, et développa au fil du temps une personnalité calme mais plutôt sûr de lui, souriant toujours aimablement, toujours près à écouter et à donner son point de vue, sur tout, sur rien. Cependant, le soir venu, il restait seul à regarder les étoiles. La Grande Ourse, le Chariot, Andromède... elles lui semblaient si loin, et il ne comprenait pas pourquoi, au contraire des autres gens de sa connaissance, il ne voulait pas les atteindre, les approcher. Il ne comprenait pas, et se dit simplement, haussant les épaules, qu'il n'y avait rien à comprendre. Peut-être bien...
L'époque du lycée passa sur lui comme de l'eau sur une pierre polie, sans qu'il s'en rende réellement compte. Le peu d'amis qu'il avait réussi à se faire, car les gens raillait souvent sa petite taille et son peu de virilité, lui était sincèrement attaché, mais quelque peu fêtard, chose qu'il n'était pas vraiment, étudiant studieux et silencieux, à l'image de la douceur d'Hana, sa mère. Il était si peu familier aux sorties et excès de ses amis, si bien que Zoran, celui qui était le plus proche de lui, décida de le dérider pour ses vingt ans, alors qu'il venait de décrocher son diplôme, et entrerait à l'académie de Police en Octobre de la même année. Cela méritait bien une petite fête... Excentrique fils de riche, Zoran invita toute la petite bande de copain à boire toute la nuit, louant même une stripteaseuse au pauvre Saladin qui resta froid comme le marbre sur sa chaise tandis que la jeune femme se frottait à lui avec indécence, allant jusqu'à se frotter contre son intimité qui ne se tendit pas le moins du monde. Il passa pour un extra-terrestre aux yeux de Zoran et de leurs amis, qui se moquèrent un peu de lui. Saladin lui-même préféra en rire qu'en pleurer, en acceptant exceptionnellement de boire l'alcool qu'on lui offrait. Après tout on n'a qu'une seule fois vingt ans, non? Cepndant Zoran était bien décider à le bizuter, et si le coup de la danseuse ne marcha pas, il eut une autre diabolique idée pour que Saladin s'encanaille un peu. C'était peut-être parce que le jeune homme portait les cheveux longs, ou parce que l'alcool imbibait déjà pas mal les gens que cette idée vint à Zoran... On attrapa Saladin et on lui passa les vêtements de ville de la stripteaseuse, juste pour se moquer de lui. Cependant le résultat ne fut pas vraiment comique... puisque la tenue de femme ne faisait pas de Saladin un homme ridicule, bien au contraire. Une seconde l'assistance resta interdite, jusqu'à ce que le jeune homme travesti éclate de rire, complètement saoul. Il se réveilla le lendemain matin sur le canapé, toujours dans cet accoutrement, sans arriver à retrouver ses vêtements dans le bazar laissé par la petite fiesta. Ses parents le tueraient s'il devait rentrer comme ça! Heureusement, son ami Zoran lui prêta de quoi s'habiller en l'homme qu'il était... Ce ne fut qu'une soirée délirante entre jeunes adultes comme tant d'autres, et pourtant quelque chose venait de se former, sans que personne ne le sache.
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| | | Saladin Öcalan The Ocelot - Chef de station CIA
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| Sujet: Re: Saladin Öcalan, "The Ocelot" Ven 17 Oct - 6:24 | |
| "How foolish of you..." II. Asayesh : Loveless.
Saladin entra à l'académie de Police la même année. Il avait finalement trouvé sa voie : le jeune homme voulait devenir inspecteur-enquêteur. Ça allait être du travail mais il était studieux et assidu, deux qualités qui l'aideraient à devenir officier. On lui demanda le premier jour de couper ses beaux cheveux noirs, chose qu'il fit à contre-cœur. Zoran lui-même dira plus tard qu'il n'aimait pas la tête que lui faisaient les cheveux courts. Le travail qu'on lui demanda était dur, au quotidien, mais par chance Zoran venait souvent le voir quand ils avaient le temps, pour sortir un peu. Les deux hommes passèrent du stade d'amis à celui de meilleurs amis, et Saladin l'éternel naïf ne vit rien venir. Un soir où ils rentrèrent chez Zoran, bien éméchés tout les deux, ce dernier redemanda à Saladin de s'habiller en femme, en utilisant les vêtements de sa sœur cadette. Le fils Öcalan, complètement saoul, s'exécuta en riant, croyant à nouveau à une blague comme à la fête de ses vingt ans. Cependant cette étrange situation eut un tout autre dénouement puisque Zoran le prit sans vraiment lui demander son avis. Saladin fini par se laisser faire, ne comprenant pas bien la situation sur le moment. Ce n'est qu'à son réveil, avec cette drôle de douleur qui met les hommes mal à l'aise, quand il se tourna vers Zoran encore endormi, qu'il comprit ce qui s'était passé. Ses parents le tueraient s'ils savaient ce qu'il venait de faire. Se travestir, deux fois de suite, la famille serait honteuse. Honteuse comme il l'était, d'avoir coucher avec un homme alors qu'il en était un. Surement honteux également d'en avoir retiré du plaisir. Il parti en coup de vent, et esquiva son ami des mois durant. Le temps passa et un terrible froid s'installa entre les deux hommes, Saladin terminant sa formation et entra dans la Police. La honte de leur nuit passée ensembles ne quitta jamais le fils Öcalan, tout comme cette envie coupable de recommencer. Peut-être qu'en fait, Zoran était amoureux de lui, mais bien trop coincé par leur sexe en commun qu'il devait attendre que Saladin se travestisse pour pouvoir l'aimer pleinement? Et si c'était cela, l'amour, même contrarié? Saladin en conçu quelque part un grand bonheur, suivi d'un sentiment profond d'affection pour son ami. Alors il prit des vêtements appartenant à sa mère, et alla voir son ami. Ils recommencèrent à nouveau leurs émois, plusieurs fois, et bientôt Saladin le suivit dans les bar en femme, comme une illustre inconnue à son bras, belle et mystérieuse. Heureuse et amoureuse.
Cela dit leur relation ne dura pas, car fondée sur du vent, sur une interprétation hâtive et quelque peu fleur bleue de la part de Saladin. Il découvrit que Zoran le trompait avec des femmes, pour finalement le suivre et découvrir que son ami avait une passion coupable pour les travestis en général. Il n'aimait pas Saladin, mais aimait juste coucher avec lui quand il portait une jupe qu'il pouvait relever. Juste une bête forme de fétichisme sexuel inavoué. Mais pas d'amour. Pas d'amour. Juste des enfantillages d'adulte, des pulsions refoulées, exorcisées sur Saladin. Juste un mensonge auquel il coupa court. Ce n'était pas si grave au final. Ce qui aurait été grave, c'était de continuer. Il rangea définitivement ses jupes pour retrouver ses pantalons d'homme, la seule tenue à porter, pensait-il. Parallèlement à ce premier chagrin d'amour, sa carrière dans la Police était exemplaire, et cela lui permit de ne pas sombrer dans la déprime. Il s'investit à cent pour cent dans son emploi, si bien qu'on le muta au bout de quelque années dans un service bien spécial : L'Asayesh, les Services Secrets Kurdes, affiliés à la police, et financés en partie par le Central Intelligence Agency, ou CIA, proche au Parti démocratique du Kurdistan. La mission de leurs membres était simple : Travail contre le trafic de stupéfiant, contre contre le terrorisme et l'espionnage, et offrir un vaste réseau de renseignement. Saladin combattit la criminalité financière, les terroristes, la contrebande, et s'avéra être un excellent élément de l'Asayesh, bon tireur, furtif et particulièrement patient et calme. On fini par l'assigner à quelques missions périlleuses en Irak même, durant la guerre. Finalement, après quelques années, il fut ordonné Lieutenant et sa carrière ne faisait que plus monter en flèche. Jusqu'à l'arrivée de Dexter Ward, un terroriste américain caché en Irak et qui allait chambouler toute sa vie...
Dexter Ward, quarante trois ans. Originaire d'Austin, dans la région du Texas. un mètre quatre-vingt un, quatre vingt kilos, ancien Marines renvoyé du corps pour indiscipline répétée à l'entrainement mais aussi sur le champ de bataille. Après quelques essais dans le trafique de drogue en Colombie, et des attentats suicides perpétrés en Amérique par des sympathisants endoctrinés, il fuit le FBI en Irak, à Mossoul, une ville sur les deux rives du Tigre, avec cinq ponts qui relient les deux côtés. Chef-lieu de la province de Ninawa, en Haute-Mésopotamie. Les USA le traquent jusque là, avec l'aide de l'Asayesh kurde, afin d'arrêter les actes terroristes fomentés contre les USA par Ward et quelques sympathisants à sa cause. Grâce au travail de Saladin et de ses collègues, Ward est arrêté quatre ans après sa fuite, et il est demandé au lieutenant de partir avec lui à à Tyson's Center, en Virginie, au Centre de Contre-terrorisme, pour un interrogatoire en bon et du forme. Saladin escorte et surveille Ward, et débarque avec lui en Virginie, où la CIA l'assimile à ses services par la force des choses, afin de démanteler le réseau du terroriste. Le fils Öcalan, l'enfant sans rêve, devient donc un membre du Central Intelligence Agency, l'une des plus agences de renseignements les plus connues des États-Unis. Il reçu rapidement la double nationalité américano-kurde pour pouvoir exercer sur le sol américain durant l'affaire Ward.
"What are you looking for, Mister Smith?" III. Central Intelligence Agency : Pointless.
Le temps passa et Saladin eut droit de faire plusieurs stages sur le de Camp Peary, près de Williamsburg, en Virginie. Il s'agit d'un terrain aménagé par les forces spéciales de l'United States Navy, plus connu pour abriter le site des entraînements de la CIA. On y prétend que la CIA y formait des tueurs, envoyés ensuite à l'étranger pour éliminer les cibles gênantes. Formé durant un an, Saladin ne vit rien de tel. Il alla ensuite à Harvey Point près d'Elisabeth City pour y suivre une formation destiné aux actions clandestines, choisi parmi un grand nombre de CV, un quart provenant de l'étranger. L'affaire Ward se régla finalement, et le jeune homme rsta sur le sol américain en premier lieu pour faire le lien avec l'Asayesh pour la surveillance et l'estimation des menaces de la sécurité de l'Irak. Alors âgé de vingt sept ans, il rencontra Eva Silverburgh, une charmante américaine qu'il épousa car elle était facile à vivre et comprenait ses penchants et son style de vie. Malgré le fait qu'il n'eut jamais d'amour entre les deux personnes, Eva et Saladin auront quand même deux enfants, entretenant une relation amicale de couple assez étrange. Saladin continue son emploi, dans cette organisation chargée de l'acquisition du renseignement (notamment par l'espionnage) et de la plupart des opérations clandestines effectuées hors de ce pays. Un emploi qui finalement, malgré le fait qu'il n'aurait jamais imaginé le faire, lui convient parfaitement bien. Le Kurde, devenu Kurdo-américain pour les besoins se son travail, devint un agent modèle de la CIA, patient et efficace, bien que son mariage en soufrât. Eva était quant à elle assignée à la section de l'administration qui est responsable de tout le soutien administratif, si bien que finalement le couple ne se voit pas beaucoup. Mais le travail avant tout. Saladin profite de certaines opérations clandestines pour jouer de son apparence et renouer avec son goût jamais perdu du travestissement, avant de se rendre compte qu'il préférait porter la jupe plutôt que le pantalon, adoptant cette idée chez lui, dans son foyer, assistée par une femme philosophe et ouverte d'esprit. Eva était finalement plus sa meilleure amie que sa femme, mais le couple n'en souffrait étonnement pas le moins du monde. Il put donc découvrir au fil du temps ses penchants homosexuels, sans qu'Eva ne lui en tienne rigueur. Quel étrange couple, n'est-ce pas?
Trente ans passés, Saladin fut nommé COS, soit Chief of station (chef de station de la CIA), devenant un officier supérieur expérimenté, chargé de diriger sous couverture diplomatique de l’ambassade des États-Unis les activités de la CIA dans une capitale donnée, plus haut chef de la CIA sur le terrain. Il se déplaça de plus en plus, chargé de la collecte du renseignement dans les pays où ils se trouvait par les méthodes « ouvertes » (par exemple lecture de la presse) ou clandestines (écoutes, recrutements), ou contre les pays voisins, rédigeant ensuite des « Aardwolf », rapports décrivant la situation dans le pays. On lui assigna un adjoint (Deputy chief of station, DCOS), ainsi que des officiers traitants, analystes, experts en communications, secrétaires... il devint alors un vrai petit chef, de plus en plus éloigné de sa douce Eva qui attendait leur deuxième fils. Il resta chef de station en Irak pendant plus de trois ans, avant de revenir au pays auprès de sa femme pour son accouchement. Seulement cette bouffé d'oxygène ne dura pas. On découvrit des activités louches à Sirius, une île artificielle qui était devenue le 51eme État des Usa depuis bien cinquante ans. L'information confidentielle traité, le gouvernement des USa ordonne à l'armée un bombardement de la zone, suite à la découverte de la présence de... morts-vivants. C'était inconcevable mais visiblement vrai, d'après les preuves que pu voir Saladin, qui n'en cru pas ses yeux. Il il n'allait bientôt pas en croire ses oreilles.
"Bang Bang like Nancy Sinatra." IV. Sirius : Hopeless.
Muté à Sirius. En tant que chef de station, pour une période indéfinie mais au maximum deux ans. Survivrait-il seulement deux ans dans ce climat de non droit hanté par des morts-vivants? C'était complètement dingue, pourtant il n'eut pas le choix. C'était son travail. Bientôt il devrait traiter avec les Marines et leur capitaine sur le terrain, Mr. Clarence George Clark, vétéran de la guerre en Afghanistan. Il serait bientôt suivit de son adjoint et de ses officiers, mais pour le moment il devait tâter le terrain en douceur. Saladin embrassa une dernière fois sa femme et ses enfants avant d'embarquer sur un petit bateau en direction de l'île maudite, avant de s'équiper d'une combinaison de plongée pour faire une entrée discrète sur la côte de l'île. Il attend son équipe sans savoir encore que cette dernière a perdu la vie à Sirius même, le laissant seul à la tâche... A moins que?
L'histoire peut commencer.
Dernière édition par Saladin Öcalan le Lun 9 Nov - 21:09, édité 2 fois | |
| | | Griffin Nightingale Leader du Clan Assombra
Nombre de messages : 590 Age : 44 Classe : Le Taré Localisation RP : Chapelle des profanes Date d'inscription : 09/09/2008
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| Sujet: Re: Saladin Öcalan, "The Ocelot" Ven 17 Oct - 7:17 | |
| Bonjour,
Bienvenue à ce personnage qui change de l'archétype du marines machos et barbares, musclé comme moi (ben quoi è_é je peux me la péter hein, même si j'exagère sur ce point... sont moins musclés que moi les marines ---->) et tatoués de partout ! C'est donc avec plaisir que j'ai appréhendé la lecture de cette fiche.
Une fiche qui me semble très documentée, avec de petits liens informatifs ! L'affaire ward... *sifflote* J'aime ! Je ne citerai que ceci mais en ce qui concerne la fiche en elle même, je la trouve vraiment réussi. Ecriture superbe, attributs et compétences correspondent à merveille (j'ai pourtant cherché la tite bête, j'aime pas n'avoir rien à redire >.<). Nous avons ici un amie bien fourbe de notre héros (disons héros même si ce n'est pas un Assombra et que du coup sa crédibilité en prend un coup) qui joue de ce dernier.
Bon je ne vais pas continuer sur ce qui m'a plut ou non, je ne vais pas trop détailler et m'étaler une heure durant dessus @_@ Ceci dit, ayant plusieurs capes, (je suis le chef des militaires sous planque Assombrienne en fait o_o Merde je l'ai révélé aaaaaah.... non je deconne -_-), je valide ! Sois le bienvenue et bon jeu à toi ^^ | |
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| | | | Saladin Öcalan, "The Ocelot" | |
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