[Elìn Nìls]

• Nom : Nìls
  
• Prénom : Elina
  
• Surnom : Elìn
  
• Age : 17 ans
  
• Date de naissance :
  
• Classe : La touche à tout
  
• Métier : Aide en tout genre ?
  
• Orientation sexuelle : Bisexuelle
  
• Appartenance : Assombra

Elina… Ou plutôt Elìn… Une fine demoiselle très androgyne, à tel point que si on apprenait son sexe, sans doute ne la croirait-on pas. En effet, elle se fait passer pour un garçon, et ainsi se fait appeler Elìn, ne donnant son vrai nom à personne. D’origine islandaise, elle est très pale et ne supporte que très mal le soleil, qui lui brûle la peau, tout comme la chaleur, qu’elle juge très rapidement suffocante. Elle préfère la douceur du froid sur sa peau. Physiquement, et bien… La demoiselle n’a strictement aucune poitrine. Elle est pour ainsi dire, plus plate qu’un homme. Elle n’a pas un kilo de trop de trop non plus, pratiquant régulièrement la natation et ne mangeant que juste assez. Elle atteint avec peine la barre des 55 kilos, pour son mètre 75. Elle est d’ailleurs particulièrement élancée même si ce n’est en aucun cas disproportionné. D’ailleurs, du fait de sa pratique accrue de la natation, elle possède une assez grande force physique et une très bonne endurance. Qualité non négligeable, car si ce n’est pas sur la vitesse qu’elle gagne, elle peut nager ou courir tellement longtemps sans s’essouffler qu’elle finit toujours par gagner, surtout qu’elle est très acharnée. Quand elle se fixe un objectif, elle l’atteindra par tous les moyens, en se surpassant. Revenons à son physique à proprement parler. Si elle n’est pas belle, c’est sans doute dû au fait qu’elle face tout pour se faire oublier. Parce qu’elle a tout pour plaire et elle pourrait sans nul doute être très attirante, pour peu qu’elle le veuille. Mais pour se faire passer pour un homme, il ne vaut mieux pas mettre son physique en valeur.

Elìn possède de nombreux traits de son ancien pays, l’Islande. A commencer par sa peau blanche au possible et qui ne prend comme seule couleur que le rouge, ce qui l’oblige d’ailleurs à toujours avoir une bonne dose de crème solaire sur la peau et de ne pas s’exposer au soleil. De plus, la demoiselle a des cheveux grisonnants. A sa naissance, ils étaient blancs, mais avec l’âge, ils sont devenus de plus en plus « noirs », c'est-à-dire gris de plus en plus foncés. Au jour d’aujourd’hui, ils sont gris foncés, dans un léger dégradé, plus clair à la base du crâne. Ses cheveux, au lieu de les avoir gardés jusqu’au ras des fesses, furent coupés dans une coupe très garçonne il y a quelque temps. Ils lui tombent au ras du cou derrière, suivant la forme de son visage en remontant et formant ainsi, une frange au ras des yeux devant. La demoiselle, outre cela, a des yeux gris troublants, dont elle se sert pour percer les gens mais sans jamais rien laisser exprimer de ses sentiments. Jamais nulles larmes n’en a coulé, du moins dans ses souvenirs. Mais si elle garde pour elle la moindre de ses tristesses, il en est de même pour ses joies. Il est en effet très rare de al voir sourire sincèrement, et rire l’est encore plus, surtout depuis ses six derniers mois. Son visage légèrement anguleux et cependant très doux semble toujours inexpressif sans toutefois être froid. Déterminé serait un mot plus juste. En l’observant, c’est sans doute la première chose que l’on remarque. Elle va jusqu’au bout des choses. Petit détail pour les aventuriers, elle a une peau d’une douceur incroyable, même si elle n’en a jamais pris soin, qui semble vouloir exprimer sa féminité refoulée.

Elìn a néanmoins quelques petits problèmes au niveau vestimentaire. A son arrivée aux Etats-Unis, elle a troqué sa vie contre celle d’un homme, mais certains détails posent problèmes, tel que les uniformes. Elle a réussi à ne pas être découverte de justesse, et ainsi pouvoir garder l’uniforme masculin, même si se changer parmi les hommes lui a toujours posé quelques problèmes. Hors cour, elle porte toujours un léger bonnet gris, qui s’accorde parfaitement à ses couleurs, ainsi qu’un t-shirt gris surmonté d’une veste légère marron, et en bas, un simple jean souvent délavé ainsi qu’une vielle paire de basket. Rien de très recherché, qui fait que souvent, on a tendance à oublier sa présence, lui permettant ainsi de passer inaperçu. Chose qui l’arrange énormément, moins on la voit, mieux elle se porte car moins on risque de découvrir son petit secret. L’arrivée des zombies fut d’ailleurs pour elle une véritable aubaine, puisqu’elle réduisit ses chances d’être découverte. Entre les moments passés planqués dans un coin sombre et ceux à piquer de quoi survivre, elle a limité grandement le contact avec les autres. Elle s’est d’ailleurs, au passage, servie dans les maisons qu’elle squattait… Seul son t-shirt ne l’a jamais quitté, avec son petit sigle, une croix dont la barre du bas formait une clé…

Elìn, pour finir, se baladait autre fois avec constamment un casque sur les oreilles, écoutant sans cesse de la musique, majoritairement du rock. Elle s’isolait dans son monde et le peu de personne qui la remarquait la qualifiait de tête en l’air avant de se détourner d’elle, ce qui l’avait toujours arrangé. Mais depuis l’attaque, son ouïe est devenue un don précieux, surtout qu’elle est très fine. Aussi a-t-elle rangé son i-pod dans un coin de son sac, en ne le ressortant que très rarement… En effet, elle se ballade de maison en maison avec pour simple bagage un sac de 50 litres pour randonnée dans lequel elle a fourré ce qui lui passait sous la main, sans penser à emmener de tenue de rechange d’ailleurs, mais un sac de couchage. Elle porte aussi deux sig sauer, chacun dans un holster placé sur une de ses jambes.





Elìn est plutôt le type de personne effacée, que l’on ne remarque pas au premier coup d’œil, mais plutôt qu’on oublie. Elle est très discrète, sur elle comme sur les autres, et très modeste. Elle attire facilement la confiance de son entourage, et même des inconnus n’hésitent pas à se confier à elle quand ils en ont besoin, comme si son aura apaisante et tranquillisante les poussait à la confidence. C’est d’ailleurs se qu’elle est, un petit îlot de tranquillité. Sûre d’elle, elle ne dévie jamais de son objectif et sa volonté de fer fait qu’elle ne plie jamais, même si très souvent, elle a bien du mal. De plus, par ces temps difficiles, elle semble quelque peu tombée du ciel, avec son calme et son sang-froid à toute épreuve. C’est chose de voir quelqu’un face à une horde de zombie armer ses armes sans sourciller en reculant tranquillement. Cependant, elle a ses petites faiblesses, et la plus grande est sans doute sa phobie de noir. Tant qu’il y a ne serait-ce qu’une faible lumière, tout va bien, mais dès qu’elle se retrouve dans le noir complet, elle est incapable de ne pas avoir peur, et de faire une crise d’angoisse. Elle s’arrange d’ailleurs pour éviter les situations qui pourraient la mettre dans cet état, même si ce n’est pas toujours possible. Elle est d’ailleurs aussi un tantinet claustrophobe et ochlophobie.

Elìn est, mis à part cela, une jeune fille très renfermée et très silencieuse. Elle ne parle que très rarement, et jamais plus de trois mots à la suite. Et son visage ne laisse rien filtrer non plus de ses émotions, ni même ses yeux, ce qui la rend indéchiffrable, mais aussi insignifiante, puisque l’on fini rapidement par tout simplement oublier sa présence. Et pourtant, elle prend note de chaque détail. L’une de ses grandes qualités est d’être d’ailleurs très observatrice, mais en général, de détails infimes qui ne servent pas à grand-chose. Elle peut, d’un coup d’œil, mémorisé un visage, une personne. Sans doute est-ce pour compenser son amnésie que désormais elle possède une mémoire beaucoup plus développée. Parce que oui, elle est amnésique. Elle ne possède aucun souvenir datant d’avant ses 14 ans. Etonnant phénomène qui lui laisse toujours un goût amer dans la bouche. Elle ne possède que trois ans de mémoire, chose fort peu évidente, puisqu’elle a dû réapprendre à parler, les mots n’ayant plus aucune signification dans son esprit, et d’autant plus qu’elle arrivait aux Etats-Unis, et son ancienne langue était l’islandais. C’est d’ailleurs la seule chose qui lui reste de son pays, quelques vagues mots et son nom.

Elìn n’est pas le genre de fille souriante ou radieuse qui attire les regards. Renfermée et calme, sans pour autant être timide, quand elle a quelque chose à dire, elle le dit, elle est pourtant bien utile en société. Ayant toujours aimé savoir, après avoir tout oublié, elle s’y connait un peu, mais dans tous les domaines, y compris la médecine. Ses quelques stages en hôpital lui furent bénéfiques, ainsi que ses cours de premiers secours. Surtout qu’elle possède la faculté de retenir vite. Sa mémoire est en effet, visuelle, auditive et sensitive, toujours pour compenser son petit problème. Très manuelle et assez sportive, elle peut néanmoins se révéler de bon conseil et être un soutien non négligeable. Petit détail, d’ailleurs, il est très difficile de la perdre, sachant qu’elle a tendance à mécaniquement retenir son chemin et tracer mentalement une carte de partout où elle va. La demoiselle a d’ailleurs la faculté géniale de mémoriser ce que les gens disent, même sans écouter particulièrement, ce qui plus d’une fois lui a sauvé la mise, puisque quand on lui demande de répéter, au moins en est-elle capable.

Elìn, pour finir, est une fille dont on peut facilement abusée. Elle n’est pas méchante, et n’hésite pas à secourir les gens en difficulté. Enfin tout dépend de la personne en question. Et des difficultés. Mais si on vient lui demander son aide, elle ne refusera pas. C’est une grande bonté qu’elle trouve gênante et encombrante et qu’elle s’efforce de cacher. A ses yeux, ce trait de caractère qu’elle tient de sa mère, même si elle ne le sait pas, est tout sauf une qualité. Elle se retrouve facilement mêlée à des situations embarrassantes à cause de cela. Et, attire momentanément l’attention, chose qui n’est pas pour lui plaire. De plus, elle est très susceptible, même si elle s’efforce au maximum de le cacher. Ce n’est cependant pas le regard que les hommes ont sur elle qui la dérangent mais plutôt celui que les filles lui portent, sans doute à cause du rôle qu’elle joue depuis toujours à ses yeux. Ainsi, qu’une fille dise d’elle qu’elle est ringarde et que jamais elle ne l’aimera la rend nettement plus triste plutôt qu’un mec lui dise qu’elle est mal habillée. Tout comme une fille dont elle apprend qu’elle est amoureuse d’elle la rend nettement plus heureuse que si un mec l’avait été. Elle est aussi empathique et arrive souvent à percevoir les sentiments des autres. C’est comme un 6ème sens, tout comme elle possède un instinct très développé et auquel elle se fit toujours.

Elìn… Nul ne sait ce qui, vraiment, lui est arrivé avant l’âge de ses 14 ans… Une sombre histoire que son inconscient a préféré effacé jusqu’au jour où elle déménagea chez son père, aux Etats-Unis, dans une île qui constituait à elle seule un état, le 51ème Etat. Un endroit paradisiaque d’après son père. Surtout depuis ces six derniers mois, elle aurait plutôt tendance à dire l’inverse. Mais ce n’est qu’une simple question de point de vue. Cependant, si sa mémoire ne garde aucune trace de son passé, un petit cahier qui ne l’a jamais quitté fait office de mémoire artificiel. Elle ne serait dire si son contenu est fictif ou non, tellement il lui semble désormais improbable, du peu qu’elle en comprend. Beaucoup de croquis, quelques fleurs séchées et quelques mots dans sa langue maternelle, l’islandais, dont elle ne comprend plus un mot… Néanmoins, son histoire n’a pas totalement disparu. Au fond de l’Islande, une vielle femme, sa grand-mère maternelle, se souvient.

Elìn est née en Avril, le 16 Avril, de l’union improbable d’un touriste américain d’une vingtaine d’année et d’une islandaise d’une grande beauté. Le jeune homme avait fui son pays natal pour quelques années, le temps de faire ses études. Coureur de jupon, il avait rencontré Hanna dans un petit restaurant où elle travaillait en temps que serveuse. Elle était plus jeune que lui mais s’était rapidement éprise de cet étranger aux belles paroles. Peu de temps après, la demoiselle tombait enceinte d’une jeune fille. Le père refusa de reconnaitre l’enfant, ce n’était pour lui qu’une aventure, et s’en fut, abandonnant la petite famille à son sort. Tout cela eut lieu dans une petite ville de l’Est de l’Islande, Djupivogur. Hanna, prise au dépourvue par l’abandon de celui qu’elle aimait, se rendit dans son petit village natal, un trou de verdure au bord d’une large rivière, avec des petites chaumières aux toits recouverts d’herbes. Sa mère l’aida à mettre au monde un petit ange qui tenait tout de sa mère, de ses cheveux blancs à ses yeux gris. Les deux femmes décidèrent de l’appeler Elina.

Elìn grandit ainsi dans un milieu calme et sans problème. Légèrement précoce, elle commença très tôt à parler et à marcher. Elle était énergique et ouvrait des yeux curieux sur toutes les choses de la vie, emplis de l’innocence qu’ont les enfants avant de comprendre. Elle faisait la fierté du petit village, qui n’avait pas le plaisir d’avoir beaucoup d’enfant, et compensa l’absence de père par la présence d’une famille d’une petite trentaine de personne constamment à ses côtés, ainsi que sa mère et grand-mère. Sa mère ne retrouva d’ailleurs pas d’homme après cet étranger qui avait bouleversé sa vie. La jeune enfant atteint l’âge de trois ans sans aucuns soucis, vivant la vie avec joie. Elle rejoignit l’école qui se situait dans la ville la plus proche. Les classes n’avaient que des petits effectifs, ce qui simplifia son intégration. Elle fut d’ailleurs vite appréciée de son entourage, gentille et aimable, curieuse de la vie, elle aidait tout le monde et avait une soif d’apprendre intarissable. Cependant c’est à ses six ans que son drame personnel eut lieu, à son entrée en école obligatoire. En rentrant de l’école, elle trouva sa mère en train de vomir du sang dans leur petite maison. Elle hurla comme jamais, et cette image lui resterait gravée dans la rétine. A partir de ce jour-là, il ne passa pas un jour sans qu’elle ne s’inquiète pour sa mère. Cette dernière avait attrapé une maladie inconnue à leurs pauvres petits hôpitaux ruraux. Ses poumons lâchaient et les médecins lui donnaient moins de dix ans à vivre si elle n’allait pas en ville, ce qu’elle refusa.

Elìn se renferma légèrement sur elle-même, s’occupant de sa mère autant qu’elle le pouvait. A côté de cela, elle entretenait ses temps libres à griffonner dans un petit cahier qu’elle avait reçu. Elle savait que si son père avait été là, il aurait pu sauver sa mère et elle lui en voulait de les avoir abandonnées. Ce n’est que par un pur hasard qu’elle tomba sur une lettre entre lui et sa mère. Ils correspondaient plus ou moins régulièrement, elle lui parlant de leur enfant, mais jamais de sa maladie. L’enfant prit la décision d’écrire à cet inconnu pour lui demander de l’aide, mais ne reçut jamais de réponses. La vie se poursuivit néanmoins, malgré cela, et elle continua sa scolarité, refoulant ses angoisses et comptant sur sa grand-mère. Cette dernière avait emménagé avec les deux femmes pour les aider. La vie semblait redevenir joyeuse lors des repas, le soir, qui ne cessaient d’être animés par tel ou tel jeu. C’est dans cet état d’esprit que la demoiselle atteint ses quatorze ans, jeune adolescente pleine de vie, sans aucuns problèmes. La maladie de sa mère avait nettement empiré mais d’ici deux ans, elle pourrait devenir médecin et serait en mesure de la soigner.

Elìn était en stage quand le décès eut lieu. Elle revint une semaine plus tard et comprit. On n’avait pas voulu la prévenir, de peur de trop la troubler. Mais quand elle vit son village, elle sentit l’ambiance pesante et elle se mit à courir jusqu’à chez elle. Sa mère avait été lavée et reposait sur son lit dans une robe noire, un voile sur le visage. On l’avait attendu pour l’enterrer. La demoiselle ne put s’empêcher de pleurer, et passa les deux jours suivants au côté de la tombe de sa mère, s’en voulant profondément de l’avoir abandonné. Il fallu qu’on la ramène de force pour qu’elle recommence à vivre. Sa grand-mère avait décidé d’informer son père du tragique accident. Ce dernier sembla s’intéresser subitement à sa fille et décida de la faire venir avec lui aux Etats-Unis. Il venait de s’installer à Sirius et jugeait la ville comme un coin de paradis parfait pour cette demoiselle qui se renfermait sur elle. De plus, il était décidé à se racheter de ses fautes au près d’elle, regrettant ces années d’abandon. Il lui réserva donc un billet de bateau pour venir jusqu’aux Etats-Unis.

Elìn monta dans ce bateau avec un étrange sentiment. Elle n’avait pratiquement rien mangé ni bu depuis le décès de sa mère, et s’en sentait entièrement coupable. Elle qui se targuait d’avoir toujours été là pour elle, elle l’avait abandonné quand elle avait besoin d’elle, et sa mère en était morte. Tout était de sa faute. Elle ne valait pas mieux que ce père qui n’avait jamais rien fait pour elles. Elle ruminait encore sa haine d’elle-même quand deux garçons entrèrent dans sa cabine. C’était deux islandais qui partaient faire leur vie aux Etats-Unis et cherchaient de l’argent sur le chemin. Ils étaient vaguement armés, mais cela leur suffit pour envoyer la demoiselle dans les vapes, elle ne chercha d’ailleurs même pas à se défendre, à peine si elle se rendit compte du coup qu'ils lui donnèrent sur l'arrière du crâne. Elle était comme une coquille vide. Elle s’évanouit donc, tombant profondément endormie, sans doute à cause du manque de nourriture de cette dernière semaine. Quand elle se réveilla, un contrôleur venait pour lui annoncer de descendre. Elle était désormais une coquille vide. Elle avait tout oublié.

Elìn arriva aux Etats-Unis avec un sac à moitié plein, sans savoir parler un mot d’anglais. Ni d’aucune langue. Etrangement, dans ce bateau, elle s’endormit et quand elle se réveilla, elle avait tout oublié. Son père, qui la reconnu parce qu’elle était le portait de sa mère, la prit sous son aile et se rendit vite compte du problème. Il en informa sa grand-mère, et d’un commun accord, décidèrent de ne pas lui parler de son enfance, dont elle ne garde qu’un cahier. Question d’équilibre mental, au vu de l’état dans lequel elle avait été après la mort de sa mère. Elle apprit donc rapidement l’américain, et commença sa nouvelle vie à Sirius, ville dite paradisiaque. Tout semblait parfait, et elle ne se plaignit jamais de son absence de souvenirs, ne cherchant pas à savoir. Son père avait décidé de la faire passer pour un garçon, lui qui rêvait d’en avoir un, et avait profité de la virginité de son esprit pour lui introduire cette idée dans la tête, même si elle finit par comprendre qu’elle était erronée, et elle continua à jouer le jeu malgré tout, gardant son secret caché bien précieusement. Pour se faire, elle troqua son nom, Elina, contre Elìn. Son père lui révéla son vrai nom que bien plus tard d'ailleurs...

Elìn s’intégra bien à sa nouvelle vie, mais sans pour autant être aussi extravertie qu’avant. Il lui manquait quelque chose et elle ne parvenait à mettre le doigt dessus. Néanmoins, sa vie était tout ce qu’il y a de plus paisible, et elle commença à faire des stages dans tous les domaines, quel qu’il soit, comme pour combler le vide de son esprit. Elle apprenait vite et ses professeurs l’appréciaient, surtout qu’elle ne refusait jamais de donner un coup de main. Quand la mise en quarantaine débuta, son père se procura deux sig sauer, juste au cas où, disait-il. Il n’aimait pas voir l’armée dans le coin. Il entraina sa fille au tir, l’emmenant un peu à l’écart certain jour, pour la faire tirer. Une fois, ils aperçurent un groupe de mort-vivants durant une de leur virée. Cependant, ils ne surent pas ce que c’était. Ils se contentèrent de rentrer. Son père, de plus en plus méfiant, interdit à la demoiselle de sortir hors des cours, et lui interdit de ce fait la natation, sport dans lequel elle avait jeté son dévolu. Pour ne pas tout perdre, elle faisait des joggings dans sa chambre et des abdos… Rien de très fort.

Elìn ne survécut au bombardement que par chance. Depuis que son père avait vu des zombies, il les avait tous deux enfermés dans la maison, ne sortant que très rarement et armé pour aller se procurer à manger. Ils furent donc épargner, mais remarquèrent la désertion des militaires au fur et à mesure. Quand le bombardement eut lieu, elle était dans le jardin, attendant son père anxieusement. En voyant les maisons s’effondrées, elle s’enferma dans l’abri d’urgence pour les tornades et autres catastrophes qui était de mise dans les îles et côtes des Etats-Unis. Elle put ainsi survivre, même si son père n’eut pas cette chance. Elle trouva son corps à une vingtaine de mètres, écrasé. Elle se dépêcha de récupérer ses armes, puis passa chez elle. Son père avait été un fan de camping et elle put récupérer deux ou trois gadgets, un sac à dos, un sac de couchage… Et ainsi s’en fut, passant la plupart de son temps cachée et barricadée dans une maison. Elle trouva un Assombra un jour, environ un mois après le bombardement. Il lui proposa de rejoindre son clan, chose qu’elle accepta avec joie. La compagnie des autres lui serait précieuse pour survivre même si elle ne pensait pas se battre, préférant garder secrète ses compétences en tir. Elle aiderait comme elle pourrait, mais n’irait pas risquer sa vie pour n’importe quoi.

• Attributs : 40 Points
  
  • Force : 5
    
  • Vigueur : 5
    
  • Dextérité : 5
    
  • Intelligence : 5
    
  • Volonté : 6
    
  • Perception : 6
    
  • Charisme : 4
    
  • Chance : 4
    
  • Points de Vie : 50
  
  
  
  
• Compétences :
  
  • Premiers Soins : **
    
  • Orientation citadine : *
    
  • Armes à feu : **
    
  • Natation : *
    
  • 6ème sens : **
    
  • Discrétion : **
  
  
  
  
• Inventaire : 585 Points
  
  • Sac à Dos : *1 = 10 points
    
  • Holster : *2 = 10 points
    
  • Sac de couchage : *1 = 10 points
    
  • Lampe torche : *1 = 10 points
    
  • Couteau Suisse : *1 = 10 points ( Force +6 )
    
  • Boîte de 30 balles pour armes de poing tous calibres : *1 = 35 points
    
  • Médi-Kit : *1 = 100 points
    
  • Kit de survie : *1 = 100 points
    
  • Sig Sauer, P226 - moyen calibre : *2 = 300 points ( Nombre de dégâts : 25 )

Aloreuh… Je tiens à préciser que je suis interne et ne pourrais donc pas venir en semaine pour poster en général, même si j’essayerai quand même (j’promet rien hein ><)… J’suis en vacance Vendredi t’façon, donc bon, la semaine prochaine, je serai là ^^

Bien le bonsoir Elin,

Tout d'abord, je tiens à préciser avoir apprécié la lecture de cette fiche, règle indéniablement lues en détail, personnage plaisant, de belles description et histoire, une écriture n'étant pas en reste. Oui vraiment, j'avoue vraiment avoir apprécié. Ceci dit, comme dit il est rare et difficile de construire une fiche qui ne demandera nulle modification, surtout lorsqu'elle passe entre ms mains d'admin casse pied *sifflote* Ce pourquoi je vais très vite annoncer ce qu'il faudra changer pour que je valide cette fiche, ce qui ne saurait tarder je pense.

Citation :

Elle est aussi empathique et arrive souvent à percevoir les sentiments des autres.

Juste une précision, il faudra faire attention de ne pas trop en abuser, ne pas savoir systématiquement ce que peut ressentir autrui. Non pas que je n'ai nulle confiance en ton jeu, au contraire. La qualité de la fiche tendant à me faire croire que si, mais j'ai trop souvent vu des personnes capable de savoir ce que pouvait en ressentir une autre avec exactitude, et à répétition, sans avoir ce don, ce pourquoi j'apporte cette précision. Enfin, comme dit j'apporte la précision juste au cas où, ne pensant pas que tu exagérerais réellement au vu de ce que j'ai lu.

Attributs, compétences et inventaire... le point le plus compliqué et sujet aux erreurs en général. Un sans faute à faillit avoir lieu, cependant un attribut ne correspond pas à ce que je lis. La vigueur étant en dessous de ce qu'elle devrait être. D'après ce que j'ai put lire, Elin est assez athlétique, étant décrite comme très endurante. Vraiment 4 étant signe d'une moyenne plutôt basse, je ne peux pas autoriser en dessous de 5. Ceci dit je me rend compte qu'il n'est pas évident de transférer le point manquant. Perception ou dextérité étant ce qui doit connaître une baisse d'un point à transférer. Ou alors revoir tous les passages mettant en avant la vigueur en question. Ce n'est jamais évident lorsque seuls 40 points sont utilisés, je le concède. Le charisme aurait put gagner un point, mais je pense pouvoir me contenter du chiffre actuel. J'apprécie le fait que ls compétences soient intégrés dans l'histoire et les descriptions, et ce au mieux.

Dernier point, la perte de mémoire, le phénomène est expliqué de façon très légère. Je parle du passage sur le bateau, j'aurais pour ma part aimé en savoir plus, que ce soit en mp si tu ne souhaites pas divulguer les exactions qui en sont la cause, ou sur la fiche. Si cela tient d'un phénomène inexpliqué autant le mettre un peu plus en avant.

Citation :

Aloreuh… Je tiens à préciser que je suis interne et ne pourrais donc pas venir en semaine pour poster en général, même si j’essayerai quand même (j’promet rien hein ><)… J’suis en vacance Vendredi t’façon, donc bon, la semaine prochaine, je serai là ^^

En ce qui concerne ce point il n'y aucun problème, chacun joue selon ses disponibilités ^^ Au pire si tu penses ne pas être là en semaine autant l'indiquer en absence, dans ta signature peut être, pour éviter que des joueurs impatients préférant jouer tous les jours ne te rejoignent et ainsi éviter des blocages bien naturels. Mais je ne me fait aucun soucis, d'autres joueurs ayant un rythme et des horaires proches des tiens j'imagine.

Voilà, j'en ai fini, comme dit pour moi cette fiche est vraiment bonne malgré mes demandes, et j'espère bientot pouvoir la valider. Quoiqu'il en soit, soit la bienvenue !

Bonsoir bonsoir...

En premier lieu, je tiens à remercier de l'accueil, je flippais un peu parce que le personnage est assez... particulier. Mais ça me fait très plaisir, un grand merci...

Par rapport à l'empathie, je connais tout à fait ce type de personne et ce n'est pas du tout ce dont je parlais... ^^ C'est plutôt qu'elle arrive à sentir, de manière générale et non de manière systématique, quand ceux qui l'entourent sont stressés, anxieux ou tristes, mais guère plus, et comme dit, c'est pas systématique.

Quant à la vigueur, c'est édité, j'en enlevé un point de dextérité (elle n'a jamais vraiment entrainé sa dextérité). Je change mes points de vie et ça doit être bon sur ce point-là.

Sinon, pour la perte de mémoire, j'rajoute un paragraphe dans l'histoire à ce propos tout de suite!^^ Mais en bref, c'est surtout parce qu'elle s'en voulait d'avoir été absente pour la mort de sa mère et qu'elle a commencé à se laisser dépérir, alors son cerveau, par instinct de survie, a décidé de tout effacé vu la possibilité d'un nouveau départ. Enfin, si c'est pas logique, j'trouverai un truc mieux, j'rajoute quand ça dans l'histoire pour si c'est okay^^

Merci beaucoup!

Me revoilà donc !

Nous regorgeons de personnages très particulier en ce forum, il n'y a nulle crainte à avoir... et le concept est des plus plaisants ^^

Pour l'empathie aucun problème à ce que je l'accorde, ton explication renforçant ce que je pensais de ton jeu, ce pourquoi je ne pense voir de lectures de pensées etc ... en jeu de ton côté.

En ce qui concerne l'ajout sur la mémoire cela me convient parfaitement désormais, je n'ai plus rien à redire dessus. La vigueur ayant connue la hausse demandée, je ne vois plus rien qui obstrue ta validation. Ce pourquoi, je valide ! Une fois de plus je te souhaites la bienvenue et bon amusement parmi nous ^^