Abbigail Stray

Prénom : Abbigail
Nom : Stray
Surnom : ‘Miss Moony’
Cela lui venant du pendentif, celui en forme de lune, qu’elle porte généralement autour du cou. Quelqu’un l’a ainsi nommée de cette manière car cette personne ignorait son prénom.

Age : Dix-sept ans.
Classe : L’aristo'.
Métier : Photographe amateur.
Orientation sexuelle : Elle l'ignore encore.
Appartenance : Les Assombras

Description physique :
La simplicité avant tout me direz-vous… Eh bien, pas vraiment. Cela est sans doute assez facile à voir, ne serait-ce que par sa couleur de cheveux. Après tout, le bleu n’est pas une couleur commune théoriquement. Enfin bleu… Disons un mélange subtile entre le bleu et le gris, réalisé par le coiffeur personnel de mademoiselle. Une folie d’adolescente ? Je pense que l’on peut dire ça comme ça. A la base, sa chevelure est blonde, ce qui a donc demandé une décoloration avant la coloration bleutée. De toute manière, malgré les protestations familiales entraînée par un acte aussi irréfléchi, la jeune fille n’a pas le moindre regret. Au sujet de la coupe en elle-même, il s’agit là encore d’un coup de tête. En effet, quelques années plus tôt, Abby possédait une chevelure assez longue, lui arrivant au bas du dos. S’en étant lassée, elle les a donc fait couper en même temps qu’on lui a fait sa couleur.
Pour continuer sur cette description, son regard est de la même couleur que sa chevelure, soit un mélange de gris et de bleu mais s’approchant un peu plus du bleu. La jeune fille possède une vue plutôt bonne et n’a besoin ni de lunettes ni de lentilles de contacts. Il est également assez facile de voir ce qu’elle ressent en regardant ses pupilles. Son regard est souvent fier et on a l’impression, désagréable, qu’elle toise les gens de haut.
Si ce n’est cela, le reste de son apparence est assez simple. La jeune fille mesure un mètre soixante-sept pour un poids d’une cinquantaine de kilos, elle est donc ainsi dans la norme des adolescentes de son âge. Ce qu’il y a d’assez rapidement visible chez Abbigail, c’est sa manie de se tenir droite, une main souvent posée sur ses hanches, comme pour dire ‘Je suis là et vous avez intérêt à le voir !’. C’est son éducation, la manière dont sa mère lui a toujours apprit à se mettre en avant, à être le centre de l’attention, qui veut cela.
Sa manière de se vêtir est, comme on pouvait s’y attendre, peu adaptée à la situation dans laquelle la jeune fille un brin trop gâtée se trouve. Cependant, on peut tout de même noter un progrès dans le fait qu’elle a, enfin, commencé à changer ses jupes pour des pantalons, ce qui est plus pratique pour courir. Par contre, on ne peut pas en dire autant de ses hauts, qui restent un brin trop décolletés. Même si ce n’est sans doute pas de sa faute si elle apprécie de se mettre en valeur. Seulement, lorsqu’un zombie l’attaquera, il ne fera sans doute pas attention au fait qu’elle porte le dernier haut à la mode qui a coûté cher et été payé par la carte de crédit de môman.


Description psychique :
Comment définir de manière simple Abbigail ? Eh bien, avec un seul mot, ou plutôt groupe de mots :
‘Gamine pourrie-gâtée’.
En effet, ayant vécue dans un milieu où elle était le centre du monde, on peut dire qu’être par elle-même à présent lui a plus ou moins fait l’effet d’une douche froide. Pour ne pas dire glacée. Il faut dire aussi qu’Abby a toujours eu tout ce qu’elle voulait. De la teinture de cheveux, même sans véritable approbation parentale, aux cours de photographie, choix que personne n’arrive à comprendre dans son entourage par ailleurs. Sa manière d’être a tout de la princesse désagréable qu’on doit passer son temps à protéger dans les jeux vidéos. Un brin autoritaire, un brin [trop] sûre d’elle, Abbigail est l’exemple type de la personne insupportable qu’on a presque envie de pousser au milieu des zombies pour avoir la paix. Presque.
Pourtant, ce n’est pas une mauvaise fille, loin de là. On pourrait même dire que d’expérimenter un peu la survie en milieu hostile ne peut que lui faire du bien. Peut-être qu’ainsi, elle comprendra ce que signifie le mot responsabilité. Ou bien alors, elle finira par mourir dans d’atroces souffrances après avoir tenté de combattre les zombies avec son canif. Un brin capricieuse et pleurnicheuse, elle n’a aucun sens de la réalité. Comme si elle vivait en haut d’une tour de verre et qu’elle ne regardait jamais ce qui se passait ailleurs.
Il faudrait également qu’elle cesse de penser que prendre des photos de ces trucs va la rendre riche. Même si ce n'est pas vraiment de sa faute si elle souffre d'un besoin compulsif à ce sujet. En effet, Abbigail ne peut pas s'en empêcher, il lui faut des photos, chaque jour. Sans quoi elle pique des crises de colère contre tout et n'importe quoi, en passant du mur aux autres membres du clan. C'est devenu une drogue en quelque sorte, ce besoin. Bien qu'il soit facile de l'expliquer. En effet, c'est sans doute la panique, la peur de perdre tout ce qui lui restait qui la pousse à agir comme ça. Comme si la photographie pouvait lui permettre de garder un certain équilibre moral, bien que précaire, mais présent. Je vous laisse imaginer ce qui arriverait s'il venait l'idée à quelqu'un de lui prendre son cher appareil... En tout cas, se sera difficile, car la demoiselle dort même avec.


But/Rêves :
Prendre des photos de zombies pour faire un article sur eux dans un grand journal et devenir riche. [Impossible certes, mais c'est Abbigail après tout.]

Attributs :
Force : 4
Vigueur : 4
Dextérité : 4
Intelligence : 5
Volonté : 7
Perception : 5
Charisme :6
Chance : 5

Points de vie : 40 points de vie.

Compétences de classe :
Savoir-vivre ** (Grâce à son éducation sans doute)
Diplomatie ** (dans le sens 'se faire comprendre et imposer son opinion sans passer par la violence')
Photographie *** (C'est sa passion après tout.)
Perspicacité * (On dirait pas parfois mais elle comprend pas si mal qu'elle en à l'air)
Orientation citadine * (Elle connaît la ville comme sa poche grâce à ses sorties 'photos')
Baratin * (Ca, c'est plus ou moins logique vu sa personnalité...)


Inventaire :

-Kit de survie : 100 points.
-Médi-Kit : 100 points.
-Vêtements de rechanges : 50 points.
-PC portable : 20 points.
-Appareil photo : 10 points.
-Lampe torche : 10 points.
-Couteau suisse : 10 points.
-Sac à dos : 10 points.
-Jumelles : 10 points.
-Emetteur/récepteur : 10 points.

Histoire :
Née dans la ville de Sirius, il y a de cela plusieurs années, Abbigail Mary Elizabeth Stray avait tout pour être heureuse. Ses parents, un père médecin et une mère travaillant dans la mode, étaient en effet des gens aisés, capable d’apporter à leur fille unique tout ce qu’elle désirait. Ce fut peut-être leur plus grande erreur. Après tout, gâter un enfant n’est pas forcément la meilleure chose à faire pour son éducation. C’est ainsi que très jeune, la gamine comprit qu’il lui suffisait de réclamer quelque chose pour l’avoir. Ainsi, à l’âge de sept ans, elle avait déjà dans sa chambre plus de jouets que tout ses camarades de classe réunie. Comme vous pouvez vous en douter, les Stray avaient mit leur fille unique dans l’école la plus chère de la ville, et privée cela va de soit. Cependant, il y avait un revers à la médaille d’argent de cette famille. En effet, Abbigail, insupportable gamine, n’avait pas d’amis. Enfin, ça personne ne le savait. Même pas elle. Parce qu’il y avait toujours des enfants de sa classe, tous riches mais moins que les Stray, qui étaient ravis d’aller jouer chez elle. Mais pas ‘avec’ elle.

Puis, les années passèrent, lentement mais sûrement. Le caractère pénible de la fillette était peut-être dur à supporter mais ce n’était rien comparé à celui de la pré-adolescente qu’elle était devenue. Même sa mère, celle qui l’avait engendré, commençait à dire que sa fille était un brin trop capricieuse. C’est ainsi que le jour où Abby demanda un appareil photo, un modèle assez cher bien sûr, ses parents lui offrirent pour avoir un peu la paix. De manière étrange, la photographie, passe-temps décidé sur un caprice, sembla avoir un effet positif sur la jeune fille. C’est ainsi qu’elle commença à moins se plaindre, passant des heures dans le jardin de leur propriété ou bien à la plage, son appareil en main. Sa chambre était ainsi recouverte de photos diverses, passant de la coccinelle sur la pelouse à l’homme inconnu avec son chien qui jouaient au bord de l’eau. C’est ainsi, qu’à quatorze ans, l’adolescente demanda à suivre des cours de photographie pour devenir professionnelle. Autant vous dire que ce point fit bien moins plaisir à sa famille, surtout à sa mère qui voyait déjà sa fille travailler dans la mode, comme elle. Malgré tout, elle termina par céder et Abbigail put enfin exercer sa passion de manière un peu moins maladroite. C’est vrai qu’à l’époque ses clichés étaient un brin bancals, un brin flous…

Quelques années plus tard, la demoiselle rentra un soir chez elle avec les cheveux bleutés et ses parents décidèrent qu’ils avaient peut-être été un peu trop libéraux avec elle. Enfin, elle disait ça mais sa chevelure à elle était bien couleur carotte, teinture également. Cependant, la jeune fille savait ce qu’elle voulait et l’excentricité capillaire dont elle faisait preuve en faisait partie. Et puis, ses parents décidèrent de partir en vacances. Cette année là, leur choix se portait sur un lieu froid mais qui était réputé pour être ‘magique’. N’aimant pas tellement le drois, leur fille déclina poliment l’invitation, bien décidée à se contenter de se faire la fête avec ses prétendues amies pendant quelques mois. Si Abbigail avait été au courant de la suite des événements, sans doute serait-elle partie avec eux…

C’était un soir comme les autres, quelques jours après le départ de ses parents… Il y avait des rumeurs étranges qui courraient en ville. A propos de monstres… Pour ne pas dire de ‘zombies’. Ca la faisait doucement rire, après tout ce genre de trucs, ça n’existe pas. Enfin, c’est ce qu’elle pensait. Dans son esprit, il s’agissait sans doute d’une farce gigantesque organisée par une bande de gosses qui s’ennuyaient un peu. Pour ne pas dire beaucoup. Seulement, elle fut bien moins rassurée en regardant la télévision soir après soir. N’allez pas croire qu’Abbigail était du genre à regarder les infos’ mais ça passait juste avant sa série préférée donc… Ils parlaient de meurtres inexpliqués et autres choses invraisemblables. Ca lui faisait peur, très peur. Tout ce qu’elle voulait faire s’était de rejoindre papa et maman. Et puis, la ville fut bombardée. Un évenement que la jeune fille classa dans 'traumatisant'. Là, elle sut que quelque chose n'allait vraiment pas du tout dans cet endroit maudit. Il fallait qu'elle parte avant que le prochain truc détruit soit son quartier...

Quelques jours plus tard, dans l’idée de quitter l’île, la jeune fille donna congé à la femme de ménage, qui semblait aussi apeurée qu'elle par la situation, prit un sac à dos et fourra ce qu’elle nommait le strict nécessaire dedans : De la nourriture, des vêtements, après tout qui peut sortir sans nouvelles tenues, son appareil photo, un couteau suisse et même une lampe torche. Pourquoi les deux derniers éléments ? Pour une raison toute bête… Les gens qui partaient de chez eux de manière précipitée dans les films avaient toujours une arme et une lampe torche. Bien qu’elle aurait peut-être mieux fait de prendre un couteau de cuisine qu’un couteau suisse mais Abby is Abby.

Une fois dehors, elle rangea ses clés dans la poche de son jean, vérifia que ses baskets étaient suffisamment assorties à son jean pour que ça aille et elle se dirigea vers la sortie de la ville. Son attention était d’aller à Roundrock où elle espérait qu’elle pourrait demander à quelqu’un de l’emmener à l’aéroport le plus proche. Simplement, elle ne savait pas vraiment comment s’y prendre pour se rendre là-bas. Et ce n’est certainement pas une gamine comme elle qui allait trouver ça par elle-même. C’est comme ça qu’elle vit son premier zombie. Heureusement pour sa pomme, il n’y en avait qu’un seul, qui errait dans les rues de son quartier chic avec un bras à moitié arraché et un air de poisson pas frais. Les jambes d’Abbigail lui disaient de courir, vite et loin mais son cerveau semblait faire un blocage. Au lieu de ça, elle sortit son appareil photo de son sac, étant à une dizaine de mètres de l’autre truc qui ne l’avait, par miracle, pas encore vu. Bien sûr, cette gourdasse avait oublié d’enlever le flash. Et à peine la photo faîte, l’appareil photo fermement serré dans ses mains, elle se mit à courir. Heureusement pour elle, la créature était uniquement un pauvre zombie de base qui n’était pas aussi rapide qu’elle. Une fois à l’abri, elle regarda le cliché qu’elle avait prit, vivent les appareils modernes. C’était si étrange… La respiration de l’adolescente était rapide, un peu trop, ses yeux étaient humides à cause des larmes qui commençaient à apparaître et elle avait peur. Peur comme jamais. Et puis, au milieu de la peur, de cette sensation étouffante, une sorte de curiosité malsaine commença à germer en elle. Peut-être qu’en attendant que ses parents envoient une équipe de recherche pour la sauver, ce dont elle était sûre, elle pourrait chercher des informations sur ses choses… Une idée qui cachait un but assez étrange… En effet, elle se disait qu’en prenant des photos sur les zombies, plein de photos, peut-être qu’elle pourrait faire un article sur eux dans un grand journal et devenir riche...

C'est sans doute à cet instant qu'on peut dire que son esprit a déménagé dans une sorte de délire pseudo-stupide au sujet de l'argent et des zombies. Délire qu'elle possède toujours à l'heure actuelle malheureusement. Alors, ce qui est arrivé à Abby après cette soirée est un peu flou, même pour elle. Tout ce qu'elle se souvient c'est d'avoir passé plusieurs jours dans les rues, à courir, fuir, tenter de mettre de la distance entre elle et ces choses affreuses. Mais, en même temps, l'adolescente cherchait à s'en rapprocher. Tout ça pour faire quelques clichés. Depuis le temps, elle en a fait pas mal la gamine... Cela va du simple zombie se promenant dans les rues, sans but apparent, à un autre dévorant quelqu'un. Comment la jeune fille a t-elle put s'approcher suffisament pour faire de telles photos tout en sachant qu'elle a une peur panique de ces monstres? Dur à expliquer. On peut sans doute supposer que c'est pour la simple et bonne raison qu'elle ressent ce besoin permanent de prendre des clichés. Au point que d'un simple délire d'argent, cela semble être devenu une obsession. Quelque chose qui la ronge de l'intérieur. Mais cela ne l'empêche pas d'avoir également d'autres photos dans la carte mémoire de son appareil... De gens, d'inconnus, de membres de clans... Elle garde tout ça comme si c'était sa bibliothèque à souvenir. C'est peut-être le cas par ailleurs.

Depuis le temps, la jeune fille a rejoint un clan. Etonnant de sa part? Non, pas vraiment. Après tout, Abbi n'est pas tellement apte à se défendre seule. Et puis, son appareil photo et elle ne pouvaient pas continuer d'errer comme ça, en plein milieu de la ville dévastée. Il n'y avait aucune chance pour qu'elle y survive. Je crois que même aujourd'hui, elle ignore encore ce qui a poussé le chef des Assombra à l'accepter dans son clan. De toute manière, la demoiselle s'en fiche un peu. Tant qu'on la laisse prendre des photos, elle ne dérange pas vraiment. Quoique... Juste avec quelques caprices de temps à autres à propos de ses tenues, de son besoin compulsif de prendre en photo tout ce qui fait 'Geeeeh' et qui tente de la dévorer et du fait qu'elle en a marre de porter des baskets.

Salut,
Erm, en effet, se sont des erreurs assez problématiques. Je vais éditer ça tout de suite^^;
Merci beaucoup~
Edit : Bon, j'espère que c'est un peu mieux comme ça... T_T"

Bien le bonsoir Abbigail,

Je passe juste donner mon avis, quoique ayant hésité à décharger Heiounet de la fiche, mais bon je ne veux pas non plus trop m'imposer en territoire Lamento, même si j'aurais aimer faire plus pour Heiounet. Je ne passe donc que pour un commentaire.

Alors, je tiens à préciser, suite aux deux derniers paragraphes, que six mois se sont écoulés depuis l'apparition des premiers morts vivants. Si le dernier paragraphe pâlie désormais au manque qui était présent niveau histoire sur ce point, je pense que tu peux aussi en faire profiter l'inventaire qui reste plus que sommaire, 1/3 des points environ étant utilisés. Tu n'es pas obligé de distribuer tout tes points mais je préfère préciser au cas où ^^

Hormis ceci, je relève deux trois tournures hasardeuses, rien de bine méchant mais attention toutefois, Hei est notre Bernado (hum) pivot du forum ! Toujours à me reprendre sur mes phottes d'auretograffe *sifflote*

Voilà, commentaire fini, je disparais donc et laisse Heiounet se charger de cette fiche ^^

Bonsoir Mister,
Comme conseillé, j'ai rajouté quelques objets dans l'inventaire de la demoiselle. Je dois bien avouer que je n'avais pas vraiment réalisé la durée de temps qui s'était écoulée (j'étais trop prise par la répartition des points T_T).
Mes excuses pour les tournures étranges, c'est ma manière d'écrire *reçoit souvent la remarque*, mais si jamais quelque chose vous semble louche, n'hésitez pas à me le dire, hein^^.

Mes excuses pour le double-post.
Il s'agit juste de dire que j'ai édité ma fiche, trouvant quelques points, donc le clan d'Abbi, non-appropriés au personnage. J'ai demandé l'autorisation de Mister Griffin pour le faire d'ailleurs.
Encore désolée du souci que je vous cause T___T *part se cacher*

Geeeeh !!!

C'est bon, avec ce "geeeeh" une photo de ma divine personne sera à la une des journaux ? Oui ? Je ne tente pas de te dévorer ? Rooooo mais pourquoi pinailler ?! T__T

Me voici donc, ayant tout relu, les changements ayant attraits à cette modification quand au clan choisi ainsi que le reste. Je ne vais pas tergiverser, c'est bon je te valide !

Pour moi c'est du tout bon, équilibrage des compétences, inventaire et attributs. Abbigail n'est pas une gunneuse mais il ne faut pas oublier que les Assombra ne sont pas que cela. Ce gout pour la photographie étant exploitable en rp ! Mais chut o_o De plus j'avoue aimer cette classe aristocratique, à jouer c'est toujours merveilleux *sifflote*

Je te souhaites la bienvenue chez les fous ! Puisses tu bien t'amuser en jeu Abbigail ^^