Histoire : I. À terre et fait moi 50 pompes!
Clarence vit le jour dans le Colorado où il y vécu toute son enfance. Une petite maison dans les alentours de Denver dans le centre de l’État où vivait le jeune Clarence, ses deux frères, Greg et Lee, plus vieux de 5 et 8 ans respectivement, son père, Palmer, et sa mère, Kelly. Son père était militaire et régit sa famille d’une main de fer comme il le faisait dans l’armée en tant que lieutenant. Heureusement, sa mère ne fut longtemps témoin de cette rigoureuse éducation car elle mourut seulement quelques années après sa naissance d’un cancer d’un poumon causé par son vice de fumer telle une usine. Elle n’en restait pas moins une sainte femme qui donna tout pour tenter de sauver son mariage forcé en se pliant aux quatre volontés de son mari. Ce fut un soulagement d’une certaine façon lorsqu’elle passa l’arme à gauche pour rejoindre ses ancêtres et quitter ce monde où elle fut humiliée et battue. Un environnement donc loin d’être saint. Malgré le fait que Palmer batte sa femme, il ne le faisait jamais devant les enfants. Ils n’ont donc pas eu conscience de ce que leur mère souffrait. Ils ne le comprirent que bien plus vieux lorsque leur cerveau firent le lien avec leur isolation dans leur chambre lorsque leur père désirait discuter avec leur mère et les bleus recouvrant son corps. Le cadet étant trop jeune pour comprendre, il ne sut jamais que leur mère était martyrisée par les coups de son père. Il ne le sut que plus tard lorsque Greg lui avoua la vie misérable que leur mère vivait de son vivant lorsqu’il avait un peu trop bu et n’avait plus contrôle de ses paroles.
Son éducation fut stricte et douloureuse à la maison. Lui et ses deux frères ainés devaient vivre comme des soldats sans en être véritablement un. Pompe et redressement assis attendaient ceux qui désobéissaient ainsi que plusieurs tâches ménagères. Leur père ne leva jamais le petit doigt pour entretenir la maison ou pour faire les repas. Il restait dans le salon à écouter la télévision ou lire le journal tandis que ses fils préparaient le repas. Ce fut un soulagement lorsque Clarence fut en âge d’allé à l’école pour enfin quitter cette maison durant quelques heures de sa journée. Il étudia dans une école privée, la même par laquelle un de ses frères était passé et le second y était toujours. Il se fit plusieurs amis mais son meilleur était son frère, avec lequel il vivait bien des malheurs. Son cheminement scolaire fut banal : Quelques petites amis ici et là qui ne durèrent jamais longtemps, des amis, des devoirs. Il avait des notes un peu plus au-dessus de la moyenne pour satisfaire les conditions de son père. Quelques difficultés en math et en histoire, mais ses matières les plus fortes étaient les sciences et les langues. Jamais il ne sema le désordre dans sa classe, craignant d’avantage la réaction de son père que les punitions de ses professeurs.
II. Départ et douleur
Une complicité évidente c’était développée entre les trois frères et lorsque Lee quitta la maison pour l’armée, ce fut un choc pour les deux autres. Leur père était fier qu’un de ses fils suivent ses traces dans le domaine de la guerre, pour défendre ce qu’il avait toujours défendu. Évidemment, celui-ci ne revint jamais faire un tour à la maison pour les vacances ou tout autre événement. Il était parti pour de bon. Le prochain, ça serait Greg.
Et comme dit, son frère quitta la maison quelques années plus tard. Pas pour l’armée cette fois, il quitta pour une plus noble cause : Il devint médecin pour aider les jeunes miséreux en Afrique avec un groupe de médecins bénévoles. Lorsqu’il fut parti, il ne resta que lui et son père.
Surprenant le jeune Clark, son père changea d’attitude. Il n’était plus le même père strict et froid que lorsque ses frères étaient à la maison. Il devint plus emphatique, plus généreux de son temps, s’intéressait à son garçon comme jamais auparavant.
En fait, le départ de son frère ne fut qu’un événement synchroniser avec la découverte du cadavre de son grand frère Lee. Il avait été blessé à la guerre et ne s’en était pas remis. Une unique balle avait touché son omoplate droite avant de comprimer sa colonne vertébrale. Sur le coup, il perdu l’usage de ses jambes et, s’il aurait survécu, il serait devenu paraplégique. Blessé sur le champ de bataille, il n’avait aucune chance. Il avait sur lui des informations primordiales pour son commandant, agissant en tant que messager pour une mission périlleuse, il devait parcourir un champ à découvert près de camps ennemis. La mission était encore plus dangereuse car le pré donnait d’un coté sur une crevasse profonde. Ses mouvements étaient donc limités entre un gouffre et les canons ennemis. Il fut vite repéré et il fut toucher. Il tenta d’oublier la douleur et se traina jusqu’à la bouche du trou à quelques mètres de là. Il envoya un message de détresse grâce à sa radio annonçant la chute de la mission et se jeta dans le gouffre pour protéger les informations qu’il avait. Il mourut dans l’abîme du gouffre.
Cette perte toucha le jeune Clark au plus haut point. Il venait de perdre son frère, son ami et une des seules personnes qui l’aimait. Il avait sentit une douleur énorme. Après quelques jours passés dans sa chambre à pleurer tout les larmes de son corps, il décida de protéger ceux qu’il aimait. Et pour cela, il devait suivre les traces de son frère. Il ne voulait pas sentir à nouveau ce mal sur le cœur. Son père et lui changèrent. Son père devint un meilleur homme et lui, un garçon renfermé. Il devint l’homme qu’il est aujourd’hui, ne voulant pas faire ressentir le mal qui l’avait affligé à quiconque. Il se forma une carapace d’homme d’insensible, d’homme froid, comme l’était son père, celui à qui il ne voulait pas ressembler, pour qu’aucune personne ne pleure sa mort, que personne ne souffre comme lui il avait souffert. Il suivra les traces de son frère pour défendre ce qu’il avait toujours défendu.
III. Troisième partie du plan
Clark rejoint l’armée dès que son âge lui permit pour la joie de son père, comprenant qu’il devait faire ça pour s’épanouir. Il devint artilleur dans les Forces Spéciales de Reconnaissances des Marines, en tant que tireur d'élite. Les snipers furent ses armes favorites dès l’entrainement. Il s’avéra très doué et ce qui lui permit d’atteindre ce titre. Le déplacement furtif, le silence, le camouflage et la mort par une seule balle, voilà comment il vengerait son frère.
Durant toutes ces années, il se maria plusieurs fois et, à chaque fois, la relation termina d’une façon brutale. Sa première épouse était Jessica Wigner. Une jeune femme qu’il connu durant une fête lors de ses 21 ans. Elle en avait 18 à l’époque. L’amour de sa vie avec du recul. Elle était la seule femme qui avait sût percer sa carapace qu’il avait prit soin de modeler autour de son cœur mais elle en trouva le chemin le plus efficace : L’amour. Ils vécurent ensemble pendant un an avant qu’il décide de finalement l’épouser. Elle accepta sur le champ et ils se marièrent trois mois plus tard, le 25 mars. Leur mariage fut heureux mais le destin avait choisit une fin plutôt tragique pour leur relation : Jessica mourut d’un cancer du poumon, tout comme sa mère. Une trop longue exposition à des sources radioactives. Elle travaillait prêt d’un site d’enfouissement de déchets radioactifs illégal et ceci l’avait tué. Cette relation forma une seconde couche autour de son cœur. Elle ne voulait probablement pas cela, mais c’était sa seule solution pour ne pas tomber dans la déprime après leurs trois ans de vie commune.
Les deux autres mariages ne méritent pas une telle narration. Un mariage causé par un abus d’alcool qui s’était terminé lorsqu’elle avait tenté d’hériter de lui avec un club de golf. Kelly, tout un swing, mais elle avait manquée la tête et lui avait simplement cassé le bras. Son troisième et dernier mariage fut avec une ancienne amie du secondaire qu’il croyait connaître mais qui s’avéra être une criminelle. Le divorce avec Rachel ce déroula tandis qu’elle fut emprisonner pour un vol à main armé. Malgré ces trois mariages et deux divorces, il est toujours marié avec la seule femme qu’il ait toujours aimée, Jessica.
Malgré tout, il continua son entrainement militaire et devint finalement capitaine. Il obtint ce titre lors d’une intervention en Afghanistan lorsque sa supérieure, Bertha Von Kröne, devint major. Il fut nommé capitaine pour la remplacer et dirigea ses hommes d’une main de fer, comme lui on l’avait dirigé, lui et ses deux frères.
Il dirigea une troupe durant la guerre et fut remarquer pour ses qualités de leadership et de stratégie militaire. Ses supérieurs lui proposèrent une mission secrète : Sirius. Il avait entendu parler de cette île artificiel mais ne savait pas pourquoi cette mission était destinée à être secrète. Il fut envoyé en vol de reconnaissance autour de l’état pour prendre conscience de ce qui se passait là bas. Même à cette hauteur, on pouvait voir la mort sur cette ville et comprit en quoi cette mission était secrète : Les zombis. Il ne posa pas le pied durant la première partie de l’opération tentant de vaincre cette menace par la force des hommes. Il ne participa pas non plus à la seconde partie constituant l’étape majeure du plan : Le bombardement. Lorsqu’il retourna à Sirius après l’attaque nucléaire, la ville qu’il avait survolée n’était que décombre et cadavre. Il avait à son service une poignée d’homme pour tenter de maintenir la population de l’île sur le territoire pour ne pas répandre ce que le gouvernement tente de cacher au peuple, éliminer la menace de l’île et récolter un maximum d’information grâce à ses scientifiques pour les archives. La situation est désastreuse mais Clark devra faire avec les informations que ses supérieurs désirent lui transmette. Il devra vaincre Sirius, cette ville plongée dans l’abîme du gouffre.