Topper Harley (Liori)

Prénom : Harley
Nom : Topper
Surnom : Liori

Age : 18 ans
Classe : Le Battant
Métier : En recherche d’emploie (plus classe que « glandeur ») Simple civil/Civil combattant.
Orientation sexuelle : Puceau.
Appartenance : Assombra

Description physique :
Liori, enfin Topper Harley, est un humain vivant. Ca parait rien comme ça, mais ça indique déjà pas mal de chose. Il a un corps intact, vivant, et qui bien qu’étant assez sale, sent beaucoup moins fort que ses « amis » hommenivore se baladant joyeusement dans les rues de sa ville. Bon, évidemment, ce n’est pas vraiment un corps d’athlète, Liori étant un bon vieux Geek -Vous savez, cette espèce humaine qui a potentiellement le plus de chance de survivre à une invasion de zombie, grâce aux connaissances acquises aux fils des années. Il a accumulé quelques kilos superflus au cours d’une vie trop paisible. Mais, si ces six derniers mois n’ont pas était profitable à la population locale, ils ont grandement bénéficié à sa silhouette.

Liori à une taille assez normale, aux alentours du mètre 80, sans compter ses cheveux, pour un poids d’environs 70 kilos. Plus très gros, pas encore maigre, il parait en assez bonne santé, si on excepte des cernes due à des heures de sommeils manqué à force de jouer en ligne, lire, ou jouer jusqu’à des heures pas possible. Paix à leurs âmes, ces heures sont à jamais perdu et les cernes sont l’un des derniers vestiges de sa vie d’antan.
Son ventre est doté maintenant de jolie abdominaux, qui s’étaient jusque’ alors caché sous une forme flasque nommé « muscle au repos », ou graisse. En tout cas, pour preuve qu’il s’agît toujours de la même chose, ce sont les poils qui s’y trouve et grimpe jusqu’au nombril. Les muscles aux repos ne se sont pas seulement développé au niveau de son jolie petit bide, mais partout où il en avait. C'est-à-dire partout. Ses bras paraissent bien plus ferme qu’il ne l’avait était jusqu’à présent, ses cuisses qui restent toujours un peu trop grosse, sont maintenant capable de le porter pour de long sprint à travers les rues grouillants de cadavres trop porté par le bizou dans le cou… Et partout ailleurs.

Donc bref, le corps de Liori fait que maintenant, il ne serait plus le dernier choisit durant les cours d’EPS, quand il s’agissait d’autre chose que de lutte de Sumo. (Quoi qu’en fait… Il n’y a jamais eus cette discipline durant ses cours !).

Autre point important dans son physique (enfin on suppose) son visage. Et oui, ce n’est pas uniquement une surface de chaire lisse comme ses genoux ou les fesses des mesdames qu’il avait l’habitude de regarder dans son écran d’ordinateur.
Non, il a un nez, pas très gros ni très petit, une grande gueule, deux yeux cernés, avec des pupilles marron, et deux oreille pas percé contrairement à ce qu’on pourrait imaginer pour une obscure raison. Il est mal rasé, avec des poils résistants toujours et encore aux lames qu’il tente tant bien que mal de leur opposer. -C’est un combat perdu d’avance selon lui, et il a donc décidé de laisser tomber les rasages à la sauvage.-
Finalement, son crâne, sa tête, le truc en volume sur lequel est collé le visage donc, et surmonté d’une épaisse tignasse de cheveux bruns, qui feraient tomber toute les dents d’un peigne tellement il aurait peur de se coincer dedans.
Bref, notre ami néglige son physique, et ça ne le dérange pas plus que cela. En fait, ça ne le change même pas de ses habitudes. On peut aussi signaler que s’il n’est pas particulièrement beau ou laid, le manque d’intérêt qu’il porte à son aspect physique l’empêche de faire preuve de beaucoup de charisme… En dehors des autres geek.

Oh, bien sur, il ne se balade pas à poil. Les rues sont froides et mal famée ces derniers temps, l’idée serait donc mauvaise. Notre bonhomme se trimballe avec une veste rouge, délavé -qui ne pique pas les yeux quoi-, porté par-dessus une chemise blanche, ayant viré au gris pas très propre.
Ensuite, il a un pantalon noir, pas trop serré (il déteste ça), mais pas trop large non plus, qui lui permet de se déplacer sans problème tout en remplissant son office de pantalon, et qui est retenu par une ceinture sans ornement, et avec pour fonction principale d’empêcher le pantalon de tomber quand il fourre quelque chose d’assez lourd dans ses poches.
Ensuite, des chaussures du genre « Basket », pratique pour se déplacer, et qui ne sont pas encore trop usée.

Touche finale, il porte un sac de sport en bandoulière qui lui sert avant tout à transporter sa nourriture et ses armes quand le besoin ne s’en fait pas réellement sentir.


Description psychique :
Premièrement, Harley Topper n’aime pas son nom ni son prénom. D’origine américaine, ses parents étaient fan d’une vieille série de film parodique répondant au doux nom de « Hot shot ». Par un (mal)heureux hasard, le héros répondait au doux nom de Topper Harley. Ses parents, d’incroyable bout entrain pleins d’humour sautèrent sur cette occasion pour décider que le nom du fils dont allait accoucher Madame Topper, serais celui du héros de ces films.
Le plus triste dans l’histoire était que Liori avait adoré lui aussi ces deux fictions…
Cependant, il vit la mort de sa famille comme l’occasion unique de reprendre le nom qu’il avait cru inventer pour un de ses avatars, « Liori ». Pour lui, ce pseudonyme représente énormément. En effet, il pensait l’avoir inventé de toute pièce, et rassemblant des sonorités qui lui plaisait, et c’est en jouant au MMORPG pour lequel il avait créé ceci qu’il apprit que c’était en réalité un nom hébreux, signifiant « Ma lumière ».
Toute une symbolique pour lui. Il pensait avoir créé quelque chose de bien, et il se rendait compte que cela signifié quelque chose de mieux. C’est pour cela qu’il a décidé de conserver ce nom, et pas celui que lui avaient donné ses parents. C’est con, mais c’est comme ça qu’il voit les choses.

Tout ça pour dire qu’il accorde beaucoup d’importance aux choses qu’il crée. Il espère et aime que ce qu’il invente, écrive ou dessine soit reconnu et apprécié. D’ailleurs, bien que semblant renfermé sur lui-même, il aime qu’on soit content ou fier de lui. Mieux encore, qu’on le jalouse. C’est pour cela que dans les domaines qu’il maitrise il se donnera toujours à fond, et qu’il est prêt à rendre service quand on le lui demande.

A part ça, que dire…
Ah, oui, il est fou.
Non, pas une vulgaire petite folie qui fond que des gens en camisole se cogne la tête contre les murs capitonné de leur cellule en répétant inlassablement « ils sont là, ils sont dans ma tête ! ». Ou alors l’abruti de base, schizophrène qui veut zigouiller tout ce qui passe à sa porté, tandis que son autre lui tente tant bien que mal de contenir son jumeaux barbares.
Bordel, ce n’est pas un personnage de Fiction ! C’est un humain !
Non, lui sa folie est bien pire que les autres. Les symptômes sont des plus choquants. Pour n’en citer qu’un… Il lit !
Il se souviendra toujours de la fois où à dix ans il avait dit ça, alors qu’il était en camping avec ses parents. Deux autres jeunes avec qui il avait fait copain-copain lui avaient demandé ce qu’il faisait. Il avait répondu qu’il lisait. Ils l’avaient regardé comme une Extra-terrestre.

Oui, Liori lit beaucoup, Comics, Manga, roman tout y passe. Les univers imaginaires sont son dada, il adore ça, et ce depuis tout petit. Ca se traduit par une collection incroyable de films en tout genre, d’œuvre littéraire, de jeux vidéo et une solide connexion au net.
Toutes ces œuvres lui ont procurés plusieurs choses, telle qu’une disparition quasi-totale de vie sociale, du moins avec les membres de la gent féminine, une imagination débordante, pas mal de référence culturel incompréhensible pour le commun des mortels, et un guide de survie pour les situations les plus improbables…
Romero est son idole, Walking dead et Highschool of dead, ses livres de chevet. S’il y a une chose qu’il savait dès que les premiers zombies sont apparus… C’était qu’il fallait frapper, peu importe le visage qui se présentait devant lui.
Sans doute est-ce à cause de ses lectures, mais il a développé une forme d’insensibilité envers l’idée de mort. Non pas qu’il n’hésiterait pas à laisser un blessé derrière lui pour survivre, ou qu’il serait allé tuer pour récupérer de quoi survivre. Contrairement à la plupart des survivants qu’il avait croisés, Liori n’éprouvait aucun sentiment quand il exterminait un zombie. Peu importe s’il était encore vivant quelques minutes plus tôt.

Liori est d’habitude quelqu’un de calme, pouvant endurer de stoïquement moquerie ou coup dur. On le fait difficilement sortir de ses gonds, il lui suffit juste de se calmer en imaginant. En imaginant quoi ? Le crâne du connard en face de lui qui se fait frapper encore, et encore et encore contre ce mur, avant d’être impitoyablement jeter sous les roues d’une voiture qui passer par là.
Oui, il préfère penser plutôt que se rebeller. Pourtant, il est uniquement « difficile » de le faire sortir de ses gonds, pas impossible. Et quand cela arrive, il essaye de se montrer aussi violent qu’il aimerait l’être. Cependant, le physique lui avait toujours fait défaut… Du moins jusqu’à présent.
Ce n’est pas non plus superman, s’il a peur, il le cachera aux autres et essayera subtilement de faire comprendre aux gens l’entourant que « si on va par là, y a des chances qu’on crève tous.» Son comportement actuel est aux antipodes de celui qu’il observe en règle générale. Mine de rien, il a les pieds sur terre, il sait qu’il n’a le droit qu’à une seule vie, et que l’ennemie peut entrainer la mort en un seul coup. Pas de prise de risque inutile. Avant d’explorer, de se déplacer quelque part il examinera le pour et le contre, et s’il peut s’en passer, il ne se jettera pas sur l’arme se trouvant au milieu d’un couloir sombre, avec pleins de porte ouverte donnant sur des salles obscures.

Finalement, et malgré la situation, il a tout de même conservé un sens de l’humour, plus ou moins douteux et compréhensible.

But/Rêves:
Son but, survivre à cette histoire. Son rêve. Faire paraitre une œuvre qu’il aurait créé. Roman, Bande dessiné ou Films, peut lui importe tant que ça a un certains succès et qu’au moins une personne attend de voir une suite à ce qu’il a créé.

Histoire :
Topper Harley est né…
…Il y a 18 ans de cela, dans une famille heureuse vivant à Sirius. Le père était un simple vendeur en appareil électroménager, tandis que la mère était infirmière à l’hôpital de la ville. Un couple heureux qui s’était rencontrer la première fois, durant une froide nuit d’hiver, alors que Monsieur Topper venait de recevoir un frigo BX8000, le dernier modèle en date, sur le pied.
C’est donc à l’hôpital que leur première rencontre eut lieu, ainsi que leur coup de foudre. La suite est classique, restau, cinéma, sortie en boîte, chasse à la baleine et l’ultime petit café avant de « repartir ». Mais bref on s’en fou, ce n’étaient que de triste figurant destiné à mourir d’ici quelques lignes.

Harley était donc un enfant normal, jusqu’à un certain âge. Il a vécu des années heureuses, durant lesquels il apprit les bases de la vie. Parler, marcher, le feu ça brûle, l’eau ça mouille, l’eau bouillante ça brûle et mouille. Il découvrait sa famille, ses parents, ses tantes et tontons avec leur bizou baveux, ses cousins qui découvraient la même chose de leur côté. Bref, la jeunesse toute jeune qu’on regrette tous.
Ensuite vint ses premiers pas en maternelle, où il se rendit compte qu’il détestait déjà cet endroit.
Après ce fut le primaire. Même constat, c’est lourds, c’est chiant, la vie est belle dehors, pourquoi on en profite pas ? Cependant, c’est à cette époque là qu’il découvrit un univers qui lui devint rapidement chère. Lors de sa dernière année de primaire un gosse de plusieurs classes en dessous de lui avait ramené un comics nommé « Spider-man ». Intrigué par cet ouvrage que dévorait littéralement l’enfant, Harley était allé le voir et l’avait questionné dessus. Non content de lui répondre d’une façon passionnée touchant au fanatisme, le gosse lui avait même prêté un numéro qu’il avait déjà lut. Il venait de contaminer Harley.

Maintenant au collège. Même constat, c’est lourds, c’est chiant, la vie est courte, pourquoi on en profite pas pour en apprendre plus sur nos héros favori ? Harley était maintenant passionné. A 10 ans à peine il s’était déjà plongé corps et âme dans ces univers incroyable. Passant des comics aux mangas, des mangas au net, du net aux romans. Lui qui n’était déjà pas très intéressé par le sport, il l’avait totalement laissé de côté pour ses multiples univers. Au diable ces 20 gays courant derrière une balle pour se jeter ensuite avidement sous les douches communes, Harley se fichait bien de ce que ces autres petits cons pouvaient penser de ses capacités en sport. Chacun s’amusait comme il le souhaitait. De plus, il n’était pas très juste de dire qu’Harley ne pratiquait aucun sport. Dés son entrée au collège il s’était mis au tir à l’arc, qu’il pratiquait plus par amusement que réelle passion. Au moins, il était assez doué dans ce sport.

Liori est…
…Déjà au lycée, et oui, sa vie passe vite. Elle n’est pas intéressante. Agé de 16 ans, Liori se revendiquait ouvertement Geek. Bien sur, pas la version boutonneuse et intello qui est tout le côté péjorative du terme. Non, lui il était tout simplement passionné, et contrairement à certain, il arrivait à accepter que certain ne partage pas ses goûts ou sa vision des choses.
Sa vie suivait son cours normalement, il devenait toujours plus accro aux mondes imaginaire, découvraient les jeux en réseau qu’il avait jusqu’à maintenant ignoré. C’est à ce moment là qu’il créa son nom actuel.
Bien sur, il n’avait pas vraiment d’amis, quelques connaissances peut être, mais pas de grand amis pour la vie. Et ça il s’en foutait royalement. C’est durant cette période qu’il se mit à pratiqué un peu plus sérieusement le tir à l’arc, et qu’il s’essaya aussi au tir avec arme à feu. Il abandonna l’affaire au bout d’un an quand il entra en terminale, pour mieux bosser sur son bac –qu’il loupa d’ailleurs-.

C’est finalement maintenant que sa vraie vie aller commencer.

B’jour ‘man, b’jour ‘pa.

Liori vient de se lever de bon matin –son réveil affichait aux alentours de 10 heures. En T-shirt, pantalon et pied nue, il se dirige vers le salon de la petite maison familiale où il croise ses parents occupés à se montrer, de façon fort voyante, leur affection, sa mère étant littéralement accroché au cou de son mari. Le jeune adulte laisse couler, après tout ils ont le droit de s’aimer et il encore trop fatigué pour faire preuve d’un faux dégoût. S’il est trop fatigué, c’est parce que notre héros a encore une fois passé la nuit à regarder des grands classiques du film de zombie qu’il adore. « L’armée des morts » version original et remake, « Diary of the dead » et d’une façon plus générale, tout les films de Romero, avec l’incrustation d’une « adaptation » d’un des plus célèbre survival horror qu’il connaisse, « Resident Evil ». (Il a bien le droit de rire entre deux bon film !).
Bref, la tête dans l’cul, il s’installe tranquillement dans la cuisine jouxtant le salon, et commence à sortir un bol, un paquet de céréale et une brique de lait. Quelque chose le chiffonne depuis quelques minutes, mais il n’arrive pas à mettre le doigt dessus… Finalement, il décide de se retourner vers ses parents, se décidant à leur poser une question pour obtenir une réponse confirmant son hypothèse.
Mais son « dîtes, vous ne trouvez pas qu’il y a une drôle d’odeur ? » ne franchit pas ses lèvres. Il regarde sa mère qui se tient dans l’encadrement de la porte de la cuisine, les vêtements ensanglanté et les yeux vitreux, une partie du visage en moins. Elle fait un pas vers lui. Il se lève de sa chaise, qu’il saisit à deux mains avant de la lui lancer de toutes ses forces. Le choc fait chuter le monstre, qui ne tarde cependant pas à se relever. Liori se dirige déjà vers le four, ou plus exactement, vers les couteaux se trouvant à côté. Il en saisit un et le tir de son support. Sa lame est longue, mais pas trop large, exactement ce qu’il voulait. Il se retourne vers le monstre qui a à peine parcouru quelques mètres. Il attend qu’il s’approche un peu plus, et le saisit à la gorge, avant de planter le couteau dans l’œil, et de l’enfoncer. La bête qui était anciennement sa mère est foudroyée sur le coup et s’affaisse comme une poupée de chiffon.

C’est la seule et unique fois que Liori vomis et se sentit mal après s’être débarrassé de l’un d’entre eux.

Plusieurs questions se bousculaient à ce moment précis dans la tête de Liori. Qu’est ce qu’il avait foutu ? Il venait de tuer sa mère, il était malade ? Comment une telle chose pouvait exister ? Quand allait-il se réveiller ?
Bref, des questions qui lui faisait perdre du temps, et qu’il préféra ignorer. Si c’était bien un rêve, il finirait par se réveiller. Si ça ne l’était pas, il était déçu par les tournures que prenaient ses fantasmes. Il s’était souvent imaginé à la place des héros des films qu’il regardait, et chaque fois, il s’inventait un plan de survit en fonction de son environnements. En général il s’imaginait retranché dans sa maison. Sauf que ses parents devaient toujours être vivants, et pas transformé en zombie, ou dévoré sur le canapé du salon…
Liori avait voulu retirer le couteau de l’œil de sa défunte mère, mais la lame s’était brisée, et un manche n’était pas vraiment utile. Heureusement pour lui, son père était bricoleur. Il se précipita dans le garage de leur maison, qui servait aussi d’entrée, et se précipita vers la porte, pour vérifier si elle était bien fermée à clé. Après cette vérification qui pourrait s’avérer bénéfique, il jeta son dévolu vers le coin « outil » de son père, et il se saisit d’un joli marteau, ainsi que d’un pied de biche. Toujours plus efficace que les poings.
Son instinct de geek ayant imaginé cette scène plusieurs milliers de fois le poussa à se jeter vers l’objet synchro saint, l’ordinateur avec une connexion internet. Cependant, après avoir atteint la machine, il se rendit compte que celle-ci ne pouvait pas se connecter au net. Il décida donc de se tourner vers le second moyen de communication majeur, le téléphone. Là, pas de tonalité. Liori n’utilisait pas souvent cet engin, mais il était sur que ce n’était pas normal. Il décida de passer au plan d’action numéro 2. Ses cousins avaient emménagé dans Sirius deux ans auparavant, et leur maison se situait moins d’un kilomètre de la sienne. Il pouvait l’atteindre en moins d’un quart d’heure.


Il arriva à destination au bout de 20 minutes. Passablement essoufflé. Transporter un arc (celui qu’il utilisait pour son club, à partir de la seconde année ils étaient obligé de posséder leur arc), son carquois, un sac remplie de conserve, ainsi que ses deux « armes », sur plus d’un kilomètre en courant n’était pas vraiment dans ses habitudes. Heureusement, la situation était propre à lui donner des ailes. Finir comme ses parents ne lui disaient vraiment rien, et en plus, il avait encore plusieurs collections de manga et comics à finir, ainsi qu’un ou deux bons jeux. Chacun ses motivations pour survivre.
Il trouva rapidement la maison de la seule famille qui lui restait. Il fut heureux de voir que les volets étaient fermés, mais que la voiture se trouvait encore dans leur jardin. Ca voulait dire qu’ils avaient eut la présence d’esprit de se barricader. Cela voulait aussi dire qu’il y avait peut de chance pour qu’ils lui ouvrent. Il alla tambouriner à la porte, priant pour que le secteur reste aussi vide de zombie qu’il ne l’était à ce moment là. Finalement, on lui ouvrit. Tout le monde allé bien, ce qui fit chaud au cœur de notre geek.
On lui posa plusieurs questions, il en posa autant. C’était apparemment la panique, son oncle et sa tante étaient perdue, totalement largué par les événements. Le postier les avait attaqué le matin, il avait réussit à le repousser à l’extérieur sans blessures. Le bougre avait tourné autour de la maison durant des heures, effrayant plus que raison la famille. D’autant plus qu’il ne pouvait pas appeler la police ou quoique ce soit d’autre pour les prévenir qu’un fou furieux rodait prêt de chez eux. Et évidement, ils refusaient d’accepter l’évidence. « Les morts qui marchent n’existent pas, ce sont uniquement des échappés de l’asile… » C’était le discours tenu par le père. Cet abruti préféré accepter le fait que le postier qu’il connaissait depuis deux ans s’était subitement échappé d’un asile plutôt que le fait qu’il soit mort puis à nouveau vivant.
De plus, il gardait une foi inébranlable envers l’armée américaine qui se trouvait dans la ville ces derniers temps.

Il fut le premier à mourir.


Liori et ses cousins avaient survécus aux bombardements, grâce au hasard qui avait voulu que leur abri soit une cave construite par quelqu’un redoutant une guerre nucléaire ou quelque chose du genre. Le père était mort lorsque plusieurs zombies avait réussit à passer à travers une fenêtre de leur maison. La mère était morte quelques heures plus tard, à la suite d’une morsure. Les trois jeunes gens avaient réussit à survivre en se déplaçant constamment, choisissant soigneusement leur itinéraire chaque nuit, et ne se déplaçant que durant la journée. Ils s’étaient rapidement rendu compte que la ville était bouclé par l’armée, et avait donc du se résoudre à essayer de survivre jusqu’à trouver une solution.

En attendant, ils visitaient ce qu’ils pouvaient, faisait des razzia éclair sur les grandes surfaces infesté de zombie, prenant des aliments non périssable et ne demandant pas de préparation particulière. C’était bien évidement dans les cas d’extrême besoin. En règle générale ils se contentaient d’aller dans des bâtiments ayant visiblement peu de zombie à l’intérieur, et ils n’y restaient pas plus de 3 jours, et transportait uniquement ce dont il avait besoin. Rester trop longtemps au même endroit était trop dangereux selon eux, ils finiraient par attirer tout les zombies du secteur, et il fallait éviter l’hécatombe de leur maison.
Un soir, ils décidèrent de s’attaquer à un magasin qu’ils connaissaient bien. C’était un magasin d’article de sport, et c’était là que Liori avait acheté son matériel d’archerie, et aussi parce que c’était là que travaillait sa tante. Les portes automatiques du magasin, bien qu’éteinte, n’opposèrent pas de résistance face aux coups répété des trois jeunes gens, et ils purent rapidement pénétrer dans le magasin. Liori devait récupérer de nouvelles flèches pour son arc, et ses cousins eux, chercher des armes pouvant être plus efficace que celle qu’ils possédaient actuellement. Malheureusement, des gens –déjà infecté- avaient eus l’idée de se cacher ici en attendant la venue des secours. Liori en réchappa de justesse.

Il survécu durant plus de 5 mois seul, démoralisé, mais toujours de la même façon qu’il l’avait fait lorsqu’ils étaient 3. Jusqu’au jour où il découvrit une troupe de survivant qui semblaient s’être spécialisé dans la chasse aux zombies. Ils le découvrirent, et heureusement pour lui, se rendirent compte qu’il était parfaitement saint. Après de rapide présentation, Liori décida –en fait, il fut plutôt contraint- de rejoindre le clan auquel appartenait ces étrange individu.

Liori venait de rencontrer les Assombras.

[Comment torcher une histoire qui aurait pu être sympa \o/]

Attributs: 40 .
Force : 6
Vigueur : 6
Dextérité : 4
Intelligence : 5
Volonté : 5
Perception : 7
Charisme : 3
Chance : 4

Points de vie : 60

Compétences de classe : 13
Survie : **
Armes de jets (arc) : ***
Armes à feu : **
Stratégie : **
Humour : **
Informatique : **

Inventaire : 600
Pied de biche : (équivalent de la batte). 100 pts ?
Arc 100 pts
Carquois de 10 flèche 30 pts

Sac à dos : 10pts
-Rations pour 5 jours : 50pts
(1 gourde, quelques conserves)
-Briquet, Zipo : 10pts
-Lampe torche : 10pts
-Jumelles : 10pts

Restant : 290

Bonjour Liori,

Du tir à l'arc ? hot shots ? Attention, je ne veux pas voir de poules servant de flèches comme dans le film hein !

Bon je vais dire ce qu'il faut changer et éviter de trop traîner sur la fiche. En tout premier lieu, le pseudo, il va falloir user nom et prénom et non le surnom. Si je laisse passer le surnom tout le monde va vouloir faire de même et les noms d'utilisateurs vont virer au n'importe quoi. Sans compter le côté "clair" d'un pseudo plus enclin à la normalité. Malgré l'explication émise il faudra changer ^^

Ensuite, je vois pas mal de fautes d'accords, surtout sur les pluriels. Heureusement, nous ne sommes pas chez les Lamentos et ce Bernard Pivot d'Hei Ko *fait une grimace*, nous restons de beaux cancres chez les Assombra ! Et fiers de l'être qui plus est mouhahahaha... Bon soit, je souligne juste le fait qu'il faudra faire attention à l'orthographe en rp ^^ Le niveau de la fiche me suffisant je n'en demande pas plus, mais pas moins non plus comme je le vois parfois en rp chez des personnes ayant déjà été validées, connaissant un beau relâchement dans le domaine. j'avoue aussi que je suis parfois perdu dans le sens de certaines phrases, c'est assez... nébuleux par moments. Peut etre ce que je suis trop fatigué ce soir, enfin je l'espère @_@ En tous cas il y vraiment certaines tournures étranges, il va falloir revoir ça si possible, exemple :

Citation :

Liori est d’habitude quelqu’un de calme, pouvant endurer de stoïquement moquerie ou coup dur

Bien que j'apprécie les références citées, il vaudrait éviter de ne pas trop en abuser sinon nous risquons de perdre un peu de vraisemblance vis à vis du contexte actuel. Il aurait fallut mélanger des références imaginaires au réel pour mieux appuyer la chose, enfin juste un petit détail et je ne demande pas de changer.

Parfois, certains éléments des descriptions auraient plus leur place dans le background. j'avoue que l'on peut s'embrouiller plus facilement, que la clarté en prend un coup.

En compétence j'avoue que le 3 en tir à l'arc me semble limite, deux passera vu son parcours, trois j'hésite... je demanderai un autre avis admin sous peu et dirait ce qu'il en est.

Perso, j'aurais transferrer un point de la force en charisme, là tu vas autant de charisme que le bossu de notre adme ou presque. 6 en force et vigueur dénotant une carrure légèrement plus élevée que celle que tu me décris.

Allez, une dernière chose, son intégration dans les Assombra, pour moi elle reste trop concise, il va falloir y remédier (mouhahaha je suis vraiment horrible).

Sinon pour moi ça passe, j'ai particulièrement bien aimé le ton dérisoire employé par moments. Je suis exigeant, mais si tu corriges ces quelques défauts je validerai très vite la fiche.

Petit passage pour signifier que, dans la journée de vendredi, si la fiche n'a pas connue les changements nécessaires, elle rejoindra la morgue de manière définitive.