Compter son argent [Libre avec qui veut]

Invité

Ziggi Ashton

Compter son argent [Libre avec qui veut] 198df064210451d75cac8bdd18a62449

Une chambre d’hôtel modeste, probablement une des moins chère de l’établissement mais ayant anormalement survécu aux attaques du passé, Ziggy était assis sur le lit à recompter encore une fois les derniers profits de son entreprise. Il était bien certain de combien il avait en main, il pouvait même vous dire la couleur des yeux de chaque personnage historique sur les billets verts mais, à cette heure-ci, valait mieux rester chez soi et passer le temps, ce qu’il faisait d’ailleurs.

Le lit sous lit grinçait sous son poids, enveloppé de deux couvertures de laines qu’il avait recueillit dans l’entrepôt, de ce qui en restait. Une plus mince, de couleur beige, probablement autrefois blanche, et la seconde, un peu plus épaisse, de couleur verdâtre. Le matelas était mince mais tout de même confortable, dans les plus confortables de l’hôtel. Enfin, dans les matelas disponibles. Certaine chambre étant déjà prise lorsqu’il avait découvert l’immeuble. Une famille de… Une famille, dont il ne connaissait pas le nombre qui recueille probablement des amis pour être autant. Une autre chambre était occupée par un jeune couple qui pleurait chaque soir la mort de leur fille. Un total de quatre chambres occupées, pour l’instant et de sa connaissance. Il venait ici que le soir de toute façon, lorsque les rues étaient moins sûr ou alors comme lieu d’échange de service auprès de ses employées. En gros, lorsque le client demandait ''un complet''.

Les chambres ayant toujours un lit plus ou moins convenable, ses filles pouvaient faire leur travaille confortablement et, si le client offrait assez, une porte pour un peu plus d’intimité. Les affaires marchaient bien ici et les clients commençait à s’habituer à ce lieu de rencontre.

Lorsqu’il eu finit de compter pour la énième fois ses billets, il les serra dans sa poche de pantalon de couleur blanche légèrement tâché de la poussière ce qui lui donnait plutôt une apparence beige. Il allait de paire avec son veston, de la même teinte mais un peu plus propre. Son costume devrait bientôt être changé en fait, la saleté ne lui allait pas bien. Le seul vêtement potable de ce qu’il portait était une chemise rouge sous le veston sale.

D’ailleurs, parlant propreté, il devrait bientôt passer un petit coup de balai dans la chambre qu’il avait meublé à son goût : une commode de bois teint qui s’harmonisait avec le lit de la même couleur ainsi que du même style. Une grande table en simili-bois, qui faisait un peu tache dans le style plutôt ancien de la chambre. Un fauteuil derrière la table qui était confortable grâce à ses coussins rouges qui allait avec la couleur du fauteuil de même teinte. Une unique lampe dans la pièce qui se trouvait sur une petite table de chevet et servait d’unique éclairage à la chambre. Des mûrs jaunâtres et un plancher de bois englobait la pièce en plus d’un plafond de la même couleur que le premier.

Il se leva et sortit de la pièce pour aller dans le corridor et déambula en regardant dans chaque embrasure pour vérifier que personne n’y reposait. Il alla à la sortie, une porte double qui ouvrait autrefois sur un hôtel plein d’avenir. Il regarda par la petite fenêtre l’extérieur : la nuit était claire, éclairée par une pleine lune et une multitude d’étoiles. Les rues étaient désertes et bien peu d’activité semblait provenir des établissements voisins.

Une nuit calme dans une ville tout sauf calme.

Bien que ça soit le calme dans cette quartier mais quelque chose brise cette silence, des bruits de pas, assez sourds, comme si cela grattait le sol, le rythme est assez élevé. Mais qui peut bien courir à cette heure ci, mais ce bruit est assez familière, enfin pas pour tous mais en tout cas les plus avertis et il semblerait que ces bruits arrivent droit sur cette hôtel, de plus en plus fort le son s'intensifie, maintenant si l'on est plus attentif un ombre passe parmi les décombres des bâtiments détruits par le bombardement. De plus en plus proche, ça peut même accéléré les cœurs des honnêtes gens ou les personnes connaissant bien la peur et soudain cette ombre a disparu pendant un instant, les bruits de pas s'estompent, comme dans les filmes d'horreurs il est sorti de nulle part, arrivant en l'air et retombe puissamment avec ce même bruit de pas, caché par le manteau gris foncé il se relève, la lune éclaire la place pour enfin savoir qui courait depuis tout ce temps, et à la plus grande surprise la seule personne qui fait ce genre de bruit est Ginji Matsuzaki!
Il est arrivé devant l'hôtel, toujours avec ses paires de lunettes de soleil cachant ces yeux, toujours accompagné de son très fidèle Shirazaya, il est là et regarde cette immeuble poisseuse et incommode et il peut apercevoir la personne qu'il cherchait, mais avant tout il reste immobile, tournant sa tête, regardant un peu partout de ces yeux perçants qui malgré la nuit arrive à distingué chaque détail qui se trouve dans sa zone de vision, il est normal de faire ce genre de vérification c'est devenue une habitude chez lui, qui dit que les zombies ne sortiraient pas la nuit ? Justement il en a croisé sur le chemin et vient de voir un ou deux mutants qu'il a préféré de les évités, mais cependant est-ce qu'il a réussi ?

*Je les ais semé ?*

Pendant un instant il ne bouge pas, tout ce qu'il peut entendre c'est le bruit du vent glacial qui fait frémir le corps et mettant encore plus la pression dans cette obscurité, c'est comme si ce vent était le passage d'un ange de la mort, cherchant paresseusement des âmes à se nourrir mais pour lui il sait garder la tête froide même dans des pires situations, et après longue observation et intention sur ce qu'il voit et sur ce qu'il sent rien ne se passe. Avec un léger soulagement il avance vers la porte d'entrée, poussant lentement la porte pour voir le gérant assis derrière le comptoir tout en lisant un journal périmé depuis fort longtemps, celui ci se relève rapidement et tout en croyant pouvoir accueillir son soit disant futur client mais comme tout le monde voila comment ils accueillent les étrangers:

"C'est bon ? Vous n'êtes pas suivit ?"

"Non, vous pouvez en être rassuré"

Le gérant avec sa tête effrayé change en un clin d'oeil l'expression pour affiché de large sourire et voila comment il va accueillir un vrai client:

"Bienvenue dans mon humble hôtel, c'est le plus confortable du quartier mais vous allez voir vous vous sentirez à l'aise, c'est pour combien de temps ?"

Ginji, se trouvant encore à la porte referme derrière lui puis marche lentement vers ce monsieur, au passage il a remarqué quelques personnes armées observant l'extérieur, sûrement des mercenaires, pathétique. Il arrive devant le gérant et d'un air direct il lui répond:

"Non... Ziggy Ashton est là, où est ça chambre ?"

"heu un de vos connaissances ?"

"Oui" mais en fait non seulement c'est pour faire passé le temps

"Il est au troisième étage au fond à droite, si c'est pour loger avec lui vous devez..."

Comme si il avait le temps d'écouter ces paroles inutiles, Ginji monte l'escalier tout en ignorant le gérant, il en a même pas l'intention d'y rester plus longtemps. Marchant d'un pas lent il monte et monte pour enfin arriver aux troisièmes étages, au fond à droite hein ? Sans plus tardé il avance d'un pas un peu plus lourd, arrivant devant la porte il frappe au moins trois coups puis il parle de façon clair:

"Ziggy Ashton, Bertha-Sama vous demande à vous voir, tout de suite nous sommes chargés de vous escorter, ouvrez la porte."

Un crissement de pas, puis plus rien. Le silence entoura Aaron tendis qu'il restait totallement immobile, se fondant parmis les ombres, devenant lui-même une ombre, ses deux yeux fixés sur une chose bougeant à quelques métres de lui, sans qu'il ne puisse l'identifier. Au loin, un cris déchirant se fit entendre et Aaron, bien que n'étant pas croyant, se surpris à adresser une prière au ciel pour le pauvre malheureux qui venait surement de perdre la vie (de façon horriblement douloureuse selont toutes probabilités).
Étrangement, Aaron n'avait pas beaucoup changé depuis le bombardement. Peut-être que ses cheveux étaient un poil plus long, ou sa barbe moins bien entretenue, mais sinon la réelle différence (et en fait, la seule qu'aurait noté une personne l'ayant connu avant) était la présence d'un katana dans son dos. La présence de ce katana était due à des causes multiples : le fait de savoir le manier, le besoin de disposer d'une arme où il n'est pas necessaire de compter les munitions et enfin un certain sens de l'hesthétique. En effet, bien enroulé dans son manteau sombre comme la nuit, avec son sabre dans le dos, il ressemblait à nombres de personnages mystèreux comme on en voit dans les films (parfois de mauvaise qualité). Et mystèrieux, ça c'est un adjectif qui définit parfaitement Aaron.

Notre ami était donc là, planté face à la "chose", tous les sens aux aguets afin de prévenir l'arrivée d'un éventuel zombi, lorsque la Lune daigna enfin apparaitre. Le rayon de Lune éclaira délicatement la rue, et Aaron recula de quelques pas afin de rester dans l'ombre d'un bâtiment, craigant de se faire repérer par une quelconque créature. Le rayon de lune eut cependant l'heureux effet de mettre en évidence la nature de "la chose", qui s'avéra être un bête chien errant. Aaron en fut surpris car il pensait que tous les êtres vivants du coin s'étaient fait croquer par les cadavres ambulants. Soulagé, il se retint de pousser un soupir de soulagement, et tel un félin il franchit rapidement la route pour se trouver de nouveau dans l'ombre d'un bâtiment. De là, il progressa de nouveau d'ombre en ombre, aussi silencieux qu'un fantôme, et il finit par arriver dans la rue qui l'interessait.

Face à lui se dressait un petit immeuble comme on en trouve partout, mais Aaron savait qu'il s'agissait en réalité d'un hôtel dans lequel certains survivants venaient se réfugier. Pour Aaron, ce refuge en plein village rempli de zombi était un pari risqué, mais c'était toujours mieux que de dormir en pleine rue car en cette époque, ce n'est plus le froid qui risque de vous tuer, ho non, maintenant on a droit à des morts lentes et douloureuses.

Aaron resta encore quelques instants immobiles, son regard pénétrant balayant la zone plusieurs fois.

*Pas de zombi. J'y vais .... maintenant !*

Aussitôt pensé, aussitôt dit et quelques secondes plus tard Aaron se retrouva sur le palier de l'hôtel. Sans prendre la peine de s'annoncer, Aaron tourna la poignée (qui grinça horriblement, pour la discrétion du refuge on repassera) et pénétra à l'intérieur. L'hôtelier était déja debout et semblait sur le point de s'asseoir lorsque il s'aperçut de la présence d'Aaron.

"C'est bon, vous n'êtes pas suivit ?"

Aaron ne répondit pas et se contenta de le fixer froidement, sans un mot, puis au bout de quelques secondes, après que l'homme soit devenu visiblement nerveux, il s'autorisa un sourire et lui répondis enfin :

"Non, je pense que je m'en serais aperçu. Au fait, faudrait penser à huiler votre poignée car sinon vous allez vous faire repérer avec les grincements."

"Je sais, mais y pas d'huile ici et je pense pas en trouver avant un moment. En fait, y a plus rien dans le coin, les clans ont tout pillés ces derniers mois."

"humhum ... je viens voir Ziggy Ashton, on m'a dit que je pouvais le trouver ici."

"Ha ça c'est marrant, vous êtes le second type à le rechercher. Trois visites en si peu de temps, ça faisait longtemps que c'était pas arrivé, la dernière fois ...."

"Sa chambre s'il vous plait !" Le coupa Aaron, peu désireux d'entendre le gérant raconter sa vie.

"Troisième étage au fond à droite, vous trouverez facilement c'est une des seules portes quasiment intacte"

"Merci"

Sans plus un mot, Aaron monta les marches quatre à quatre, pressé de rejoindre celui qui l'avait devancé. Il avança rapidement dans le couloir, ses pas ne produisant quasiment aucun bruit sur la moquette (oui, moquette dans le couloir .... bon, ça devait être chiant pour le ménage mais ce n'est plus vraiment un problème immédiat) et il finit par rejoindre l'autre homme au moment où celui-ci frappait à la porte de Ziggy.
Aaron se contenta de lui adresser un hochement de tête silencieux pour le saluer discrétement, puis il se mit dos au mur en face de la porte, une main négligemment passé sous son manteau .... et refermée sur son arme placée dans le holster. Aaron attendit la suite des événement, prêt à faire feu à la moindre menace.

*Juste au cas où*

Invité

Ziggi Ashton

D’où il était, il pouvait voir l’extérieur du bâtiment où il résidait depuis peu de temps après les bombardements. Une nuit calme, une jolie lune et des étoiles, une nuit qui aurait put être banale s’il ne s’aurait pas trouvé dans une ville bombardée il y a peu et où les zombis rôdent tel des chiens en recherche d’un repas dans les rues sinueuses découpant des quartiers détruits par les explosions qu’avait causé le gouvernement américain. Il se trouva chanceux d’avoir put survivre à une telle attaque, lui qui était plutôt faible physiquement. Par chance, il s’était trouvé loin des lieux de bombardements et n’avait subit que de quelques blessures superficielles et d’un choc à la tête qui l’avait assommé quelques heures. Sa chance avait une fois de plus protégé le corps inactif de l’homme en le protégeant des attaques de zombis.

Il vit une ombre à l’extérieure : mouvements rapides, chaque pas était réfléchi et elle semblait surveiller ses arrières, comme un zombi ne le ferait pas. Juste un passant tentant de fuir une attaque passée. Par contre, malgré sa déduction, il pouvait fort bien être suivit par une horde de zombis. La nuit était trop avancée et aucune lumière ne semblait éclairer plus loin que le bout de la rue. Une seconde ombre. Elle était différente de la première : Des mouvements plus courts, se cachant derrière tout objet produisant une ombre plus noir que les ténèbres de la nuit. Il y avait donc deux hommes. Tous ces mouvements dehors l’inquiétèrent, croyant d’abord à une attaque de morts ambulants, le fait que la seconde ombre bougeait d’une façon non-hâtive tout en était apparue plus tard que la première le rassura sur ce point.

Il ne prit tout de même pas de risque inutile. La direction empruntée par les ombres menait à l’hôtel et les mesures de guerre était en place : lutter ou mourir. Il se faufila donc dans sa chambre et prit soin de fermer sa porte derrière lui, la verrouillée serait inutile puisque la serrure ne serait pas capable de bloquer une attaque de mouche endormie. Il retira son veston sale pour avoir une meilleure mobilité de mouvement et le lança sur les couvertures de son lit. Il ouvrit le tiroir de son bureau. Un révolver y reposait. Il le prit fermement, sentant déjà de l’adrénaline parcourir son corps comment la situation le stressait. Un simple mouvement à l’extérieur lui donnait déjà des sueurs froides? Il n’était pas un grand courageux et encore moins un combattant.

Il tira sa chaise jusqu’à coté de lit pour s’y assoir tendit qu’il patientait que son adrénaline baisse et que la menace soit écarté. De plus, le fait qu’il soit assis, et donc plus petit, réduisait la surface où il pouvait être touché par une quelconque arme à distance. Il plaça bien son fusil en direction de la porte, visant environ l’endroit où arriverait la tête d’une personne de taille moyenne, se préparant au pire. S’il devait tuer, ça devait être en un coup puisque les balles étaient encore plus recherchées qu’un toit sur l’île de Sirius. Tuer, ou être tué comme on dit.

Il patienta donc assis sur sa chaise. Il n’y avait pas de bruit de foule en panique, mais on ne sait jamais. Vivre ici le forçait à être constamment alerte, prêt à toute attaque zombi, ou humaine. De toute façon, le temps passait bien plus vite lorsqu’on était aveuglé par l’adrénaline que lorsqu’on compte pour la millième fois son argent…

Il entendit le bruit caractéristique d’une personne montant l’escalier. Même s’il était loin de l’accès au niveau supérieur, le silence constant de l’établissement rendait cacophonique n’importe quel mouvement se produisant dans l’immeuble. Il n’avait donc pas imaginé une possible attaque : Il y avait bien du monde dans cet hôtel autre que les résidents. Ceux-ci était probablement déjà blottit dans leur lit en trend de réciter une prière pour les protéger et retrouver ceux qu’ils avaient perdus. Pitoyable humanité…

Toc toc toc. On cogna trois fois à sa porte. Au moins, s’il voulait sa peau, il était poli. Il resserra son emprise sur son arme et ferma un œil, le gauche, pour mieux viser. Ses mains tremblaient et la sueur coulait à grande goute sur son front.

- Ziggy Ashton, Bertha-Sama vous demande à vous voir, tout de suite nous sommes chargés de vous escorter, ouvrez la porte.

Plusieurs points : Il connaissait son nom, ce qui veut dire soit qu’il le désignait comme cible ou qu’ils étaient des connaissances. Ensuite, il travaillait pour les Krönes, point rassurant, et Bertha demandait à la voir. Troisième point, nous. Il était donc ils. Ils étaient donc plusieurs derrière la porte. Puis, on voulait l’escorter. Il desserra légèrement son emprise sur son arme, le tenant tout de même fermement, lui qui savait très bien que l’humain pouvait mentir pour arriver à ses fins. Dernier point, il était courtois. Enfin bon, ce point n’avait pas vraiment d’importance mais c’est toujours bon à savoir.

Il se leva de la chaise et alla en direction de la porte. Il passa son fusil dans la main droite et, de la gauche, la posa sur la poignée. Il ne répondit pas aux propos de l’homme, tentant ainsi de le prendre plus ou moins par surprise. Il tourna rapidement la poignée et enchaîna avec l’ouverture de la porte.

Ils étaient bien deux, et armés. Mair leur lame respective était dans leur fourreau et ils ne semblaient pas près à attaquer. Il baissa donc son arme et la place dans sa poche. Il passa une main sur son visage pour retirer les cheveux qui s’étaient collés sur son front à cause des gouttes de sueurs. Il adressa un sourire aux hommes et, comme s’il n’avait jamais mit le canon de son arme à leur niveau, enfin, au niveau de celui qui semblait plus en retrait car l’homme qui avait parler à travers la porte était plus grand qu’il ne croyait, dit d’une voix tentant d’être calme après tout ces émotions fortes :

- Bonsoir! Inutile de me présenter je crois. Vous êtes?

Il y a eu un petit moment de silence, mais cela ne lui inquiétait pas, en tout cas son coéquipier est arrivé discrètement mais s'il arrive dans son champ de vision il est sûr que Ginji le verrai et justement il tourne légèrement sa tête pour le voir marcher, il lui fait signe d'une salutation discret et il en fait pareil. Maintenant il pouvait entendre un bruit venant de l'intérieur, un petit bruit de craquement puis plus rien, il se dit qu'il doit marcher lentement vers la porte et comme il ne le connait pas mais d'après de ce qu'il a entendue il faut se méfier quand on fait sa première connaissance avec lui. Il n'avait pas tout de suite compris que c'était un peureux, il attendait encore ou enfin quelque chose à fait bouger la poignée de la porte, il ne rate pas vraiment les détails et encore moins à cette distance et là il comprit qu'il se trouve juste derrière cette porte, cependant son instinct n'indique pas vraiment de danger mais d'être en alerte, son esprit un peu nerveux se demande quel genre d'homme ça va être, mais là en est pas la question c'est il est bon au moins ? Quand il y a des zombies dans les coins ? Même s'ils sont là pour l'escorter il faut être soit fort ou soit stupide pour venir dans cette hôtel quand on est appelé.
Il pense et observe en même temps, et sans avoir eu le temps d'en poser d'autre question dans sa tête que la porte s'ouvre de façon brutale et tout ce qu'il voit en premier c'est une petite chose noir qui doit être une arme pointé au niveau de sa torse, ses yeux regardent un peu plus loin, regardant ses mains, ses bras tout en déduisant la façon dont il tient son arme et sa position à se tenir derrière une porte, il voit en même temps son pantalon blanc enfin s'il est blanc à moins que sa soit la lumière d'une ampoule éclairant faiblement cette chambre, remontant encore son regard en voyant sa chemise rouge et enfin de tomber sur le visage pale de cette homme. Oui il transpire en même temps, il ne disait pas un mot avant que l'arme de cette personne ne soit rangé et celui si parle enfin, un jeune peureux d'après ce qu'il a vue, demandant l'identité de Ginji, sans trop attendre il se présente:

"Ginji Matsuzaki, Derrière moi est Aaron Macgregor, nous sommes tout les deux chargés de vous escorter, je comprend pourquoi elle nous a ordonné à vous accompagner jusqu'au manoir...non oubliez"

En effet il a eu bon vent de faire oublier la fin du phrase, c'est assez provocateur mais peut-être pas pour lui cependant il a l'habitude de vivre dans une espace très malhonnête, des mafias, y a-t-il plus pire qu'eux ? Bon les voyous mais ils ne sont rien par rapport à eux, bien en regardant attentivement cette homme n'a pas l'air d'avoir une tête à se battre, surtout quand il voit légèrement dépasser ce petit papier vert qui ressemble à un billet de dollar, regardant de face il est du genre à vouloir attirer les filles, bien bien passons ces petits détails, le plus important la situation actuelle:

"Ziggy Ashton, vous allez devoir courir, comme beaucoup de survivants de cette île comprennent à quel point c'est dangereux de sortir la nuit, votre habileté serra votre allier primordiale, utiliser votre arme à feu risque d'attirer des ennuis. Pour le chemin il n'est plus sûr maintenant comme voir ces quelques zombies marchants lentement dans leur coin. Prenez vos affaires et préparez vous à la course, le voyage va être étouffant et aussi ne revenez plus ici, le jour où vous serrez appelé et escorté autre que moi et lui ou personne assez compétent pour ce boulot vous n'aurez plus l'occasion de compter vos billets... Je vais descendre en bas, voir si la voix est libre... Aaron toi qui a le sens d'infiltration réfléchit sur notre itinéraire, pendant notre voyage tu va courir en premier, je couvrirai l'arrière si ça ne se passe pas comme prévu..."

Par la suite il se dirige vers l'escalier, descendant en contre-sens avec ce même geste de marche, plus lourd, par la suite il arrive au rez de chaussé ou se trouve encore ces mêmes personnes et le gérant qui a le manie de poser une question que même Ginji se demande s'il n'allait pas le faire boucler sa bouche:

"heu... Vous allez sortir ? N'y allez surtout pas c'est..."

"C'est bien de s'inquiéter pour les autres et j'admire votre bravoure mais il faut un peu penser à vous, vous voyez d'où je veux en venir ?"

De son air supérieur, sa taille immense et son regard perçant malgré ces lunettes cachant ses yeux semblent être insuffisant pour le faire sentir ce léger frisson le montant tout au long de son colonne vertébrale, par la suite il continue à marcher en direction de la sortie, poussant une nouvelle fois la porte et se place à quelques mètres de l'entrée, il est là, ne bougeant plus un pouce, son manteau qui monte et descend sous l'effet de ce léger passage du vent toujours glacé. Sa tête ne bouge pas mais ses yeux eux oui à une allure assez élevé, regardant dans chaque coin du décor, s'il en voyait il est sûr qu'il y en aura d'autre et espère qu'il en verrait pas et pour aujourd'hui, il aimerait retrouver le calme et se trouver auprès de son jeune Kashira, quoi que son instinct lui indique de se préparer à une surprise et ça il aime pas la surprise, malgré qu'il a l'habitude, enfin disons que ce n'est pas comme ouvrir un gros paquet de cadeau ou se trouve une stripteaseuse.

Aaron était resté parfaitement immobile depuis son arrivée, même s'il avait faillit dégainer et tirer sur Ziggy Ashton lorsque ce dernier ouvrit la porte d'un seul coup. Heureusement, le self-control de l'ex-agent du FBI sauva la vie de Ziggy, même si ce dernier ne sembla pas se rendre compte que son geste avait faillit lui être fatal. Aaron examina Ziggy avec un regard rapellant celui des rapaces et il se mit à enregistrer le moindre détail.
Ce qui le frappa en premier fut l'allure de "dandy" de l'homme : costard impeccable (bien que poussièreux et sentant vaguement le moisi) et allure manifestement soignée depuis des lustres. Aaron l'imaginant aisément en train d'oeuvrer dans l'ombre afin d'étendre son influence et de gagner de l'argent, beaucoup d'argent. Aaron ne put s'empêcher de sourire en pensant que Ziggy avait exactement (du moins en apparence) le profil des gens qu'il devait arrêter dans le passé, avant le bombardement.

S'interessant maintenant à l'attitude de Ziggy, Aaron nota des traces de sueurs sur son front et sous ses aisselles, signe d'une grande anxiété passée, il put également se rendre compte que Ziggy faisait des efforts monumentals pour essayer de retrouver un visage serein et détendu, mais la crispation de sa mâchoire et ses yeux fuyant le trahissaient quand à sa tranquilité d'esprit. De ces observations, Aaron en conclut deux choses : premièrement, Ziggy n'était pas un combattant car il semblait prendre peur assez facilement et de toute évidence une blessure au visage lui serait insupportable. Deuxièmement, il devait être malin, car n'étant pas combattant c'est la seule chose qui a du le maintenir en vie après le bombardement, à moins qu'il ne bénéficie d'une chance proprement extraordinaire.
Arrêtant là son observation, il entendit Ginji établir un plan d'action qu'Aaron approuva d'un signe de tête. Décollant son dos du mur, il enfonça ses mains dans les poches de son long manteau noir et se dirigea tranquillement vers la sortie. Tandis que l'hôtelier prennait à partie Ginji, Aaron en profita pour s'eclipser discrétement et rejoindre la rue devant l'hôtel.

Inspirant quelques bouffées d'air frais, il frictionna ses mains légérement engourdie par le froid de la nuit, puis une fois que ses yeux se firent un peu habitués à l'obscurité, il se dirigea d'un pas souple et agile afin de vérifier différents itinéraires. Malheureusement la plupart étaient proprement impraticables : groupes de zombies, route dévastée, carcasse d'immeuble barrant le passage ....
Presque trois quarts d'heure après son départ, Aaron rejoignit ses deux compagnons du moment et leur fit son rapport d'une voix calme et posée :

"Bon. Sur les septs itinéraires possibles, quatre se sont révélés impossibles à emprunter dés les premiéres centaines de métre, voir un kilométre. Il en reste donc trois mais par manque de temps je n'ai pas put pousser très loin les vérifications. Tout ce que je peux dire c'est qu'ils sont sûr sur le premier kilométre mais après je ne peux pas dire. On va être obligé d'y aller un peu au hasard.

Le premier chemin passe par des bâtiments éventrés. L'avantage c'est que l'on est couvert et que les ruines vont améliorer notre furtivité, malheureusement cela vaut aussi pour les zombies même si je doute qu'ils soient assez intelligents pour penser à se cacher. Le second chemin coupe au contraire à travers une zone totalement déserte. Là, on sera à découvert mais on devrais voir arriver les ennemis de loin, sauf si la lune se cache. Enfin, le dernier chemin consiste à suivre la route principale et en cas de besoin on pourra se réfugier dans un des bâtiments, mais on risquerait de tomber dans un repaire de zombie. Quelle que soit la route, on devra ensuite suivre la grande route allant vers Sirius, route bordé de champs plus ou moins en bon état. De là, il nous faudra marcher plusieurs kilométres puis bifurquer environs deux kilométres avant Sirus afin de rejoindre le manoir.

Concernant les chemins, je n'ai aucune préférence, mon seul conseil étant de se décider vite pour éviter que des zombies s'y installent pendant qu'on parle. Je rajouterais juste une chose : les risques que des emmerdes nous tombent dessus sont très fortes, alors je vous conseille d'être prêt à fracasser du zombie si besoin est."

Son discours terminé, il resta parfaitement immobile devant les deux individus, seuls ses yeux changeant régulièrement de personne à observer, et il attendis patiemment le choix de ses alliès (enfin, plus celui de Ginji que de Ziggy qui semblait bien trop inexpérimenté pour ce genre de situation.)

Invité

Ziggi Ashton

Le géant sur le bord de la porte devait bien mesurer deux mètres. Sa musculature et tout son corps faisait penser à un guerrier romain. Des cheveux courts, des yeux cachés par des lunettes de soleil fortement teintées et une barbiche complétaient sommairement la description du géant. Un combattant quoi. Un type qui a réussi à survivre ici grâce à sa force et sa maitrise du combat rapproché. Il comprenait pourquoi Bertha avait choisit cet homme pour l’escorter : Il devait le défendre.

Le second homme était fort différent : De taille moyenne, cheveux assez longs, un peu plus court que les siens, des lunettes devant des yeux verts et un début de barbe. Vraiment, ces deux là n’avaient rien en commun physiquement. Il était tapi dans l’ombre à quelques pas de la porte. Lui, c’était plus le type sournois qui frappe par derrière, analysant la situation d’un coin en retrait pour frapper fort.

Après avoir fait un rapide bilan psychologique des deux hommes basé sur leur apparence, le grand prit la parole.

- Ginji Matsuzaki, Derrière moi est Aaron Macgregor, nous sommes tout les deux chargés de vous escorter, je comprend pourquoi elle nous a ordonné à vous accompagner jusqu'au manoir...non oubliez

Maintenant ils avaient des noms? Eh bien. Ginji et Aaron, le Grand et le Type. Il passa sous silence la seconde partie des paroles du Grand, lutter contre lui pour défendre son honneur serait perdu d’avance. De toute façon, il assumait son faible courage, il leur prouverait sa véritable nature plus tard. Pour l’instant, ils avaient l’air sérieux, surtout le Type dans le coin qui restait étonnamment immobile depuis son arrivé. De plus, il s’était excusé. Un si poli jeune homme méritait une seconde chance. Valait mieux s’en faire un allié plutôt qu’un ennemi.

Ginji reprit la parole et expliqua la raison de leur venue. En gros, il allait devoir fuir la ville avec son peu d’effet personnel pour courir dans les rues en se cachant derrière boîte en carton et restant de poubelle pour allez voir la jolie Bertha. Et en plus, ils devaient faire vite. Ziggy pensa qu’en fin de compte, le centre-ville aurait été un meilleur endroit pour établir son quartier-général.

Les deux combattants partirent vers l’escalier, Aaron en dernier, laissant Ziggy dans le cadre de la porte de sa chambre. Il se retourna et regarda la chambre qu’il avait meublée avec soin.

"Quand faut y aller…"

Il agit rapidement, ne voulant faire attendre les deux gars qui devaient l’amener en ville. Il mit le révolver dans sa poche de pantalon et fouilla l’endroit pour ne rien laisser qui pourrait être utile. Il devait amener le strict minimum s’il voulait se déplacer facilement. Il changea de pantalon pour un moins voyant de couleur noir, plus propre que le précédant, et transféra son arme de poche. Il prit tout l’argent qui trainait dans les tiroirs et son silencieux qu’il vissa autour du canon de son arme. Le reste de ses affaires se résumant principalement de vêtement qu’il ne pourrait transporter sur son dos durant leur course jusqu’au QG des Kröne.

Il descendit au premier niveau quelques minutes plus tard et vit la place vide à part le gars qui s’occupait de l’accueil.

- Mr. Ashton, vous connaissez ces types?

- Pas le temps, désolé, il semblerait que ça soit une urgence. Je vous laisse les filles, elles ne survivront pas longtemps dehors. À un de ces jours.

Toute cette action lui plaisait. Il s’imaginait déjà dans les rues en train de tirer sur des zombis de derrière une barricade de poubelle pendant que les deux autres hommes se battent contre eux au corps à corps. Enfin bon, c’était dans son imagination tout ça.

Il sortit dehors avant une réponse du proprio et vit le Grand attendre près de la sortie. Où était donc Aaron? Partit? Ginji ne semblait pas s’en inquiéter et restait immobile dehors.

Ils attendirent un moment que le Type revienne et lorsqu’il montra enfin le bout de son nez, ses paroles déferlèrent dans un long discours sur la situation actuelle des possibilités envisageables. Lorsqu’il eu terminé, il resta une fois de plus immobile attendant la réponse de son compagnon sur le chemin à prendre.

- Si je peux me permettre, le champ dont vous parlez est surnommé dans le coin comme la Vallée des Morts car tout ceux qui y sont allé n’en sont revenus, probablement une attaque de zombis, mais certain raconte que ça serait un groupe de jeunes qui tente de survivre. Et donc, je m’oppose à ce choix de chemin.
Pour ce qui est de la route principale, un nid de zombi y est présent dans les deux ou trois kilomètre. Je propose donc les ruines, un chemin sûr.

Ziggy fut heureux de participer à l’élaboration du plan, probablement un des seuls domaines militaires où il égalait les deux autres. Sa connaissance du coin leur sera utile s’ils veulent survivre.

Compter son argent [Libre avec qui veut] Vlcsnap154650mp5

Type : Zombies basiques.
Nombre : 9 Zombies.
Points de coup : 2. (1 point de coup par tranche complète de 10pv de dégâts pris.)
Capacité de Combat : 4.
Malignité : 0.
Type d’attaque : Morsures, griffures, coups de poings et de pieds.
Dégâts : 4pv.

La stratégie zombie pour la durée du combat :
Agressifs, les morts-vivants vous tiennent en tenaille afin de vous empêcher de fuir, dans la ruelle derrière l'hôtel. Il y en a deux sur Ginji, trois sur Aaron et les quatre derniers semblent vouloir se faire un petit en-cas avec notre ami Ziggy.

Description Rp de l'attaque :
Alors que le "pimp" prit la direction de la sortie, accompagné de ceux qui se présentaient tel des gardes du corps, la porte se refermât hâtivement avec grand fracas. Un propriétaire apeuré en étant peut être la cause... agissant avec précipitation ? Autre chose ? Il restait cependant la certitude d'une clef faisant un tour dans un serrure, cette même porte devenant un élément infranchissable de cette forteresse. Cet asile sécurisé que venaient de quitter les trois fous, désormais laissées pour seuls en ces rues peu sures. La nuit était dangereuse, l'obscurité tombante, il devenait moins aisé de se déplacer en toute liberté, le danger les guettaient. Non, seule une voix, celle du même gérant de cet hôtel, lui qui agissait par couardise aurait put se faire entendre tel un murmure par une oreille aiguisée, comme s'il s'adressait à autrui.

"C'est chacun pour sa peau, je te dis, je veux pas crever ou servir de repas aux morts, alors mets là en veilleuse !"

Homme aux multiples facettes, s'adaptant face au client, le dit gérant craignait pour sa vie. Un seul instant, une seule porte qui s'entrouvre et une longue vie de labeur qui s'envole. Des barricades infranchissables qui reprennent place durant les palabres du petit groupe. Un petit groupe semblant gagné par la folie ! Oui, pourquoi ces trois personnes en arrivent à discuter ainsi, nullement à l'abri, de parfaites cibles pour des créatures affamées. Un instant, le souffle du vent gagna en intensité, une bourrasque faisant voler un morceau de journal en direction du visage du samouraï, Ginji devenant la cible d'un bout de papier facétieux. Un bruit se fit alors entendre, non loin une ruelle, sombre... Le bruit du métal claquant, rien ne se profile à l'horizon sur la seconde qui suit...

Ceci dit....

Des grognements, ne laissant aucun doute sur ce point, une maison non loin, se situant à l'opposée de la ruelle aux bruits inquiétants. Une silhouette fantomatique se profilant, faisant son apparition, une ombre la dissimulant en partie, rendant impossible son identification. Une démarche hasardeuse, le bruit d'un pied qui cogne contre du verre en un instant, une bouteille venant rouler au pied du petit groupe. Une bouteille vide, une bouteille sur laquelle une empreinte morbide se dessine, celle d'une main ensanglantée, trace funeste et inquiétante... Quelques secondes après des bruit dans la ruelle s'étaient écoulées, oui juste quelques secondes... Ceci dit, un groupe émergea de l'obscurité, des cadavres surgissant de toutes parts, attirés par le repas copieux se présentant non loin... La danger se faisant pressant, les cadavéreux n'ayant que faire des plans qu'auraient put prévoir les trois Krône... non, il en apportaient la preuve en les interrompant de la sorte... mais il est, parait il, peu courtois de se faire attendre lorsqu'une nourriture se présente, au moins faisaient ils preuve de savoir vivre dans leur trépas.

- Lien vers la règle de combat avec les Zombies -

[Pour son premier combat je me demande si c'est bon car si tel est le cas alors j'ai peut-être compris les règles instauré par Albrecht ^^']

Se soir ça va être bien rouge, enfin c'est ce qu'il prévoit à l'avance car il sait que lui et son petit groupe vont rencontrer les zombies et ça ne va pas être du gâteau, enfin il espère ne pas rencontrer un bon nombre de zombies sur leur chemin c'est tout ce qu'il aimerait vivre pour cette nuit.
Ginji, toujours immobile sur place attend avec ce léger goût amer que dégageait l'atmosphère de ces environs et qu'il n'apprécie guère, c'est comme revivre dans son passé lorsqu'il été très jeune à cette époque, vivre dans des conditions assez délicats et sans qu'il ne se rendait compte avait ce même goût qu'il le retrouve aujourd'hui. C'est tout à fait nouveau pour lui de ressentir ce genre de chose sauf qu'il se sent revivre, oui c'est peut-être que son instinct commence à entrer en harmonie dans son nouveau élément, il reste calme et posé, ses pensées ne doivent pas être troublé par ces événements, en tant que combattant extrême possédant un code d'honneur stricte il est bien obligé de suivre le chemin dont il avait emprunté il y a longtemps.
Il entend un bruit venant derrière lui, une bruit de grincement de porte venant de l'hôtel, tournant sa tête à un quart pour voir à peine mais suffisamment de son oeil droit et voit que se monsieur Ziggy ait finit de prendre ses affaires, le rejoignant à ses côtés et n'entament aucune conversation, juste attendre dans le silence que son coéquipier arrive et c'est justement le cas, après un petit moment d'attente l'agent revient après avoir fait quelques points de leurs futur itinéraire pour faire son rapport et que tous ne semble pas rassurant. Le visage de Ginji est un peu inquiétant, fronçant les sourcils ce qu'il craignait tant est arrivé, rencontre sûr contre les morts-vivants.

"Aaron Mcgregor nous voila dans de beau drap, on a pas vraiment le choix, je pense que vous faites de bon boulot pour quelqu'un qui sait infiltrer la zone à haut risque..."

Par la suite Ziggy s'incruste pour démontrer qu'il n'est pas inutile non plus et qu'il est apte à faire quelque chose qui peut échapper à des groupes de zombies et justement il semble qu'il s'y connait bien niveau géographique, il doit savoir de la situation et peut-être grâce à son intelligence qui devrait contre-balancer ce faible corps être plus malin qu'il ne l'aurait pensé, éprouvant une choix positive de la part de l'homme d'affaire Ginji semble être un peut rassuré même si rien n'a changé dans son visage:

"Donc se serra pour la ruine, maintenant partons..."

Bien qu'ils allaient sur le point de partir quelque chose retient ce petit groupe, des bruits inquiétants trament dans les coins sombres, mais ce qui peut surprendre, et encore moins pour Ginji, c'est que la porte soit fermé de façon grotesque et sans hésitation avec ce petit bruit de fermeture dans la serrure, maintenant ils ont a certitude qu'ils ne pourront pas revenir dans cette hôtel non accueillant.
Ginji leva sa main dans la précipitation, mais pourquoi ? En fait une feuille de journal poisseux fonçait droit sur son visage et l'attrapant par la suite, ses yeux se tournaient sur ce petit papier abimé puis le met de côté violemment et lorsqu'il enlève ce petit obstacle qui bloquait une partie de sa vision l'expression de son visage change soudainement, des zombies, déjà ?! Et il semble être nombreux, il n'aurait pas crue voir ces corps sans âmes venir de si tôt lui déplaisent beaucoup, il faut croire que ça commence bien:

"Yale Yale, il faut qu'on s'en occupe, Ziggy restez en a..."

A moins que ça ne soit sa fatigue d'autres zombies arrivent d'un autre côté, voulant déjà protéger Ziggy mais les zombies qui ont malheureusement choisi le mauvais repas s'interposent mais comme ils étaient que deux il peut en finir rapidement, sans plus attendre dégainant son terrifiant sabre brillant de mille feu sous l'éclat de la lune rendant encore plus en valeur, le tenant ferme de ses deux mains Ginji fonce comme un léopard et comme la distance qui le séparait avec ses deux adversaires est faible de quelques pas poursuivit d'un bon puissant pour arriver sur l'un d'eux donnant de toute ses forces et avec précision tranchant le membre d'un zombies, la tête tombe suivit de son corps sans cervelle, l'autre commence à l'attraper sur sa droite quand il se trouvait à genoux, seulement ce genre de chose est tout à fait le plus faible d'entre eux, tout ce qu'il a à faire c'est de donner un coup violent avec la manche de son Shirazaya, poussé d'un à deux mètres ne pouvant réagir vite Ginji avec un mouvement vif fonce sur le dernier pour attraper le bras droit et là révèle l'une des arcanes du bushido,se tournant sur lui-même à demis cercle il le projette avec sa force et sa technique combiné avec la gravité du sol tout en donnant un coup avec sa hanche, non seulement le bras de l'homme sans âme est déboité mais en plus il passe au-dessus de lui pour se retrouver au sol, Ginji de son bras droit armée de son katana super tranchant retournant la manche dont la lame se trouve du côté opposé le finit d'un coup de grâce, pénétrant la tête de l'être impure de la pointe de sa lame pour ensuite le retirer, celui-ci ne se relèvera donc plus, faisant un geste brusque de son bras droit pour enlever le sang coagulé se trouvant encore sur sa lame. Il venait déjà de terminer ceux là qu'ensuite il devait songer à sa mission, Aaron semble être un peu gêné par ces trois zombies et les restent semblent être bien attiré par Ziggy, il décide donc de partir rejoindre Ziggy pour venir à son aide s'il s'en sort bien entendue...

0 zombie de base à 2 points de coup ( avec une technique au corps à corps en plus )

(Pour la mission Ginji devait d'abord la sécurité de Ziggy, donc en tant que garde du corps il part l'aider à moins qu'il en ait fini avant.)

-Et merde. Grommela Aaron en regardant la bande de steak-ambulants leur tomber sur le coin de la tronche.

C'est ça le problème avec les zombies : ils pensent pas (ou si peu), on ne peut donc pas vraiment prévoir leurs actions à l'avance (en admettant que les zombies aux-même prévoient leurs coups à l'avance, ce qui semble plutôt improbable vu leurs QI proche d'une poule morte). A tout les coups, ceux-là se balladaient totallement au pif, dans le noir (et en bavant) avant de tomber sur le petit groupe d'aventurier composé d'un trouillard, d'un "monsieur muscle" et du "binoclar futé". Ledit groupe étant donc attaqué par la troupe de cadavres qui marchent, il lui fallut bien trouver une solution pour ne pas finir en apéricubes pour morts-vivants. Ginji trancha rapidement le problème, littéralement. Sortant son katana, il alla faire quelques démonstrations à un groupe de zombies masochistes. Pendant ce temps là, notre cher Aaron shoota dans la canette de coca, pour se donner un style, dégaina son propre katana, le bruit du sabre en acier sortant de son fourreau lui arrachant un frisson de plaisir.
La baston était proche, et ça tombait bien car cela faisait un petit moment qu'Aaron n'avait pas eut à se battre. Au moins, ça allait lui rafraichir la mémoire, enfin s'il s'en sort vivant.

Son katana à la main, donc, il se tourna vers "ses" zombies, ou les trois zombies assez stupides pour venir à portée de son arme, et il leur décocha son sourire spécial ("pour mes dents, j'utilise Colgate !"), puis il décida de passer à la phase des négociations musclées. Son premier coup de katana, en forme de demi-cercle horizontale, coupa proprement le bras du premier zombie, tandis qu'un second voyait son ventre s'ouvrir comme une baudruche, répandant ses organes internes (de toutes façons non fonctionnels) hors de son corps. Reculant juste d'un pas, Aaron esquiva un premier coup du troisième zombie et il tenta de le décapiter. Malheureusement, la pénombre n'aidant pas, il rata son coup et se retrouva soudainnement au sol, sur le dos avec un mal de crâne plutôt énervant. Aaron comprit assez rapidement qu'il s'était mangé un coup de poing, et il roula sur le dos afin de s'écarter des zombies, juste à temps pour éviter une main de l'aggripper. Il fit encore quelques roulades sur le côté, puis profitant du mouvement il parvint à se remettre debout. Le premier zombie à le rejoindre fut, chose surprenante, celui qui était le plus mal en point.

"Mister-tripes" n'eut cependant pas le temps de planter ses dents dans la chair tendre (et probablement savoureuse) d'Aaron, car ce dernier le priva tout simplement de l'usage de sa tête, laquelle alla rouler vers les pieds du zombie suivant. "N'as qu'un bras", qui avait eut suffisament d'intelligence (ou est-ce le hasard ?) pour contourner Aaron attaqua dans le dos de l'homme, mais ce dernier le repéra du coin de l'oeil et il parvint, de justesse, à parer le coup avec son sabre, enlevant au passage un nouveau morceau de chair au bras déja coupé. L'instant, "Intact" qui avait bizarrement mit un certain temps pour rejoindre son compagnon, voulut se tailler sa part du gâteau (enfin, sa part d'Aaron) mais ce dernier était trop agile pour que le mort-vivant n'arrive à le mordre. Tout juste parvint t'il à laisser l'empreinte de ses dents sur un bout du manteau.

En sueur, Aaron recula de quelques pas, effectuant quelques moulinets dissuassifs, sa lame renvoyant les rayons de la lune d'une façon hypnotique. Aaron, face aux deux zombies, arbora soudainement un sourire inquiétant.

*Purée, quesqu'ils sont moches*

1 zombie normal => 2 points de coup
1 zombie normal => 1 point de coup.

Ben, je reste avec mes deux potes pour le second round ^^
(ps : je suis pas très sûr d'avoir capté le système des combat mais je pense que ça doit être ça .... et désolé pour le post, je manque un peu de temps)

Invité

Ziggi Ashton

À peine avait-il terminé sa description des chemins possibles et les risques de chacun d’eux, la porte derrière lui se ferma brutalement. Il l’avait déjà fermé lorsqu’il était sortit après avoir rassembler son matériel mais le gérant de l’hôtel décida de s’assurer que la porte était bien fermée avant de la verrouiller derrière les trois Krönes. Ziggy se retourna lorsqu’il entendit le déclic de la serrure, juste à temps pour voir un visage effrayé mais étrangement déchiré par un sourire malveillant : Le propriétaire avait peur des zombis, mais cette occasion semblait être simplement une bonne raison pour se débarrasser du pimp au cheveux blonds : Leur relation n’était pas des plus saine, lui qui amenait pour une nuit un homme qui avait besoin de compagnie et dont les cris accentués par le manque flagrant de plaisir sexuel faisait parfois fuir certaine personne qui logeait ici. Le gérant avait déjà parler de ses craintes que ceux qui partent ce fasse attaquer par les zombis, mais jamais Ziggy n’aurait pensé qu’il était prêts à sacrifier la vie de celui qui pesait lourd sur sa conscience pour sauver la vie des gens attaqués par une attaque fictive de zombis créé par le plus profond de ses cauchemars.

Le propriétaire parla d’une voix forte pour que le condamné entende bien sa voix lorsqu’il prononça ses dires dignes d’un film de zombis. Il lui jeta un regard noir comme si son simple regard pouvait lui permettre d’échanger de place avec celui qui l’avait haïs dans un refoulement de lui-même, mais c’était trop tard, il avait déjà tourné les talons et fuyait pour se cacher sous son matelas.

Lorsqu’il se retourna pour voir si la menace évoqué par le patron de l’établissement était bien réelle : elle l’était. Une dizaine de zombis fonçait, à leur rythme, sur les trois hommes. Étrangement, ses pensés furent tournés sur le zombis de face, ressemblant étrangement à une personne qu’il connaissait. Il ne pouvait mettre le doigt dessus, mais il savait que ce cadavre mouvant avait plus de vécu que cette vie à manger de la viande fraîche. Incapable de déterminer un semblant de sexe, des traits déformés par la mort et l’horreur et un tempérament qui n’était que l’ombre de celui qui habitait autrefois ce même corps plein de vie.

Il ne fit pas plus attention sur cet étrange sentiment car les zombis semblaient avoir vu le groupe armé et accéléraient la cadence. Les corps désarticulés n’étaient plus qu’à quelques mètres d’eux. Ziggy commença à penser que si le gérant n’était pas si chien sale, peut-être que la nué aurait beaucoup plus avancé sur la route avant que le trio puisse l’apercevoir.

Il sortit son revolver et tenta le plus possible de maîtriser la peur qui montait de plus en plus le long de son corps pour bientôt le submerger sous la sueur et les tremblements d’une peur bien fondée. Les deux guerriers aux sabres qui l’accompagnaient sortirent leur arme avant de commencer à s’attaquer à quelques zombis. Il regarda les mouvements des lames des deux samouraïs trancher les membres pourris des cadavres dans une cacophonie de son d’os trancher et de chair déchiré. Son attention fut ensuite rapidement porté sur le combat qu’il devra lui-même mener : quatre zombis boitaient vers lui. Il se tourna rapidement vers la droite pour viser la tête du zombis le plus près.

- Aller approche enfoiré!

Il pesa sur la gâchette dès que le mort-vivat fit un pas de plus et toucha la tête. Il sourit, croyant en avoir fini avec cette momie putréfiée, mais il s’effaça aussitôt car celui-ci avança encore d’un pas. Il tira encore un autre coups, puis un autre, voulant s’assurer de la seconde mort de son ennemi. Déjà trois balles. Ses munitions étaient comptés en ce temps de guerre. Il décida de tenter d’attendre le plus possible afin d’avoir l’aide des deux gardes du corps à son service et ainsi économiser sur les balles.

Il garda son arme pointé sur les deux autres zombis qui piétinait le corps de leur ancien camarade pensant que cela allait ralentir leurs pas après avoir vu ce que ce bâton de feu réservait aux pourritures dans leur genre. Malheureusement, ceux-ci semblait se foutre carrément de ce que la mort leur réservait et ne pensait qu’à la bonne viande fraîche qui les attendait derrière l’arme.

Ziggy ne perçu pas la présence d’un quatrième zombis derrière lui qui le prenait en tenaille. Pas si fou que ça c’est zombis. Il marchait d’un pas lent derrière lui et, lorsqu’il fut assez près, donna un coup dans le dos du pimp. Le coup ne fut pas très violent mais vu le stress du blond, le coup fut assez fort pour le faire tomber sur le ventre. Il amortit le choc avec ses avant-bras et tenta de se relever mais les zombis étaient assez près et s’il prenait la peine de se mettre sur ses pattes, un mort-vivant pourrait facilement lui prendre un bouché. Il se retourna donc sur le dos et tira deux coups sur le zombis le plus près, celui qui l’avait frappé. Probablement à cause du stress, la peur et le fait qu’il soit couché sur le sol, les deux coups de feu qui résonnaient encore dans les tympans du blessé n’avaient pas atteint leur cible et une d’elle avait touché l’hôtel derrière les cadavres vivant. La seconde s’était perdu dans la noirceur de la nuit. Ces deux coups perdus causé par l’angoisse du tireur ne semblait aucunement inquiéter celui auxquelles les balles étaient destinés et continuait d’avancer du même pas lent que ses compagnons.

Il resta l’arme pointé sur les autres zombis mais espérait l’aide d’un de ses alliés avant de devoir utiliser une autre balle s’ajoutant aux autres balles perdues. Il recula en se poussant grâce à ses talons plantés dans le sol. Lorsqu’il crut être à bonne distance des zombis pour se relever, c’est à dire environ deux mètres, il prit appui sur sa main droite pour se relever. La texture sous sa paume était molle, beaucoup plus que le sol sur lequel il avait posé les pieds plus tôt. Elle était humidifiée d’un liquide assez épais et une odeur nauséabonde atteint ses narines. Nul besoin de le voir pour le croire : Il prenait appui sur un cadavre! Il se releva rapidement et tenta d’enlever le sang pourrit de sur sa main en la frottant sur son pantalon déjà sale. Ce manque d’attention donna au même zombi qui l’avait touché la première fois de le heurter une seconde fois, toujours dans le dos. Il tomba à genou dans les entrailles du mort qui l’avait déjà souillé. Son pantalon s’imbibait du liquide rouge recouvrant le zombis.

- Sales cons…

À genou dans les restes d’un des leur, Ziggy offrait une proie facile pour les marchands de morts.

3 zombis à 2 points de coup
Et un cadavre!

[C'est fait!]

Hrp : je poste exceptionnellement une attaque de la horde, normalement vous pouvez calculer leurs dégâts dans vos post et les intégrer de base ceci dit comme ça a put être fait. Pour une première attaque, je peux comprendre que cela paraisse compliqué, je post donc pour que ce soit clair au possible. Ayant vu une petite erreur, je rectifie au passage avec une explication rp. J'en profite pour poser les explications quand à l'attaque

Post, calcul d'attaque de la horde :

2 zombies sur Ginji au commencement de l'attaque, total de 8 en attaque (2 *4 indiqués par la capacité de combat) défense de Ginji de 10 (7 de dextérité + compétence en arme), rien ne passe...
3 Zombies sur Aaron au commencement de l'attaque, total de 12 en attaque / défense de Aaron de 7... 5 points d'écarts, une attaque passe. (4 points de dégâts pour Aaron)
4 Zombies sur Ziggy au commencement de l'attaque, total de 16 en attaque / Défense de Ziggy de 6... 10 points d'écarts, deux attaques passent. (8 points de dégâts pour Ziggy, à la prochaine attaque de zombie réussie, blessure suintante)

Explication rp :

L'attaque de la horde fut désordonnée, ces monstres fétides ne pouvant plus raisonner, n"étant animés que par leur voracité, ils battaient des bras pour tenter d'attraper leur proie, mordant de leurs dents aiguisés ce qui se présenterait à eux. Les deux zombies qui se attaquèrent le samouraï eurent fort à faire, ne réussissant à arracher le moindre bout de chair au vaillant guerrier. Une tête tournoya dans les airs, séparée du corps décharné auquel elle était attachée. Puis le second zombie se voit transpercer en son crâne par Ginji.

Aaron réussit, combattant d'envergure, eut un instant tout de l'highlander, arrachant à son tour la tête d'un des malheureux qui fut auparavant vivant. Des deux survivants un seul se volait intact, quand bien même ce terme paraissait surévalué au vue de ce corps semblant avoir été dévoré en partie... un autre se retrouvait sans bras. Cependant une attaque passa, un zombie maladroit avait alors tenté d'agripper le malheureux, n'ayant pour résultat final que de lui placer un poing bien involontaire. Désormais les zombie se tenait proche l'un de l'autre, émettant des gémissements plus sonores, fonçant en avant sans réellement se soucier des mouvements de lames d'Aaron.

Ziggy quand à lui se défendit du mieux qu'il put, tirant de son pistolet, utilisant de nombreuses munitions mais réussissant à se débarasser d'une de ses attaquants. Ceci dit il se trouvait désormais dans une impasse, trois zombies lui faisant toujours face, prêt à dévorer, à goûter à la tendre chaire du "pimp". Celui ci constituait un formidable en cas, le hors d'oeuvre dont ils aimeraient tant se délecter.

Aaron sent sort bien, malgré qu'il doit tuer encore deux zombies cependant celui qui a plus besoin d'aide c'est bien Ziggy, ce jeune homme inexpérimenté sombre plus en plus à force que le temps passe, même chaque seconde compte dans la vie. Trois zombies se tiennent ensemble autour de lui pour se préparer à un festin très délicat, comme si son heure est venu de partir aux paradis, erreur monumental!
Au moment où il se sentait sur le point de mourir un des trois zombie vient d'être bousculé violemment, dans le ralentit de l'image tel que l'on verrait dans le film matrix un pied était collé dans la côte de cette être morbide, Ginji était en l'air, parallèle du sol qui n'était qu'à un mètre, il vient de démontrer une entrée spectaculaire, un kick puissant mettant à terre le victimes inconscients projetés à quatre voir cinq mètres du point d'impact continuant à rouler au sol laissant trainer ces quelques goûtes de sang, quand à lui il se rattrape de façon imposant sur ces deux pieds fléchits. Bien que les deux zombies ont eu le temps de tourner leurs têtes pour contempler ce nouveau venu qu'ils n'eurent le temps de l'attraper qu'ils commencent à tomber après avoir entendue un sifflement à la fois particulier mais aussi terrifiant que inquiétant, du sang noir part en fontaine dans le niveau inférieur de ces deux corps rongés par le virus, des membres, précisément des jambes vient d'être coupé net seulement avec la force de ses deux bras combiné de son sabre qui avait visé l'une des parties faciles pour découper facilement un corps, pour démontrer bien qu'il ne faut pas plaisanter avec son arme les deux paires de pieds qui devaient appartenir à ces zombies se trouvant près de Ziggy qui se retrouvent maintenant au sol il y a quelques instant sont toujours debout, juste des membres inertes gardant leur équilibre. L'un des corps encore animé par la conscience perdu bougent son bras pour atteindre la tête du vieux samurai mais hélas sa tête vient d'être cloué au sol par cette lame merveilleuse comme embroché dans des boulettes de poulpes pour faire du 'Takoyaki', par la suite il dit:

"Ca va ? Pas blessé j'espère..."

Bien qu'il n'ait le temps de voir plus sur l'état de Ziggy que l'autre a déjà agrippé au niveau de sa jambe avec ses deux bras et sa tête s'approchant de la chair fraiche et tendre du guerrier seulement lui aussi se retrouve aplatit au sol sauf que c'est la main de Ginji qui vient de le plaquer, empêchant de faire quoi que se soit de dangereux pour le blesser. Bien entendue il n'a pas oublier leur collègue qui commence à se remettre debout et de se rediriger vers les deux survivants, tournant sa tête vers Ziggy puis dit d'une voix nerveux:

"Occupe toi de l'autre, je me charge de celui-là"

Lachant son arme toujours planté au sol avec la tête d'horreur en prime il place sa main libre au niveau du rein, agrippant la ceinture de cette être perfide, son autre main occupé à tenir la tête serre plus fort que jamais les cheveux, d'un mouvement brusque il soulève le corps moisi juste à une trentaine de centimètre du sol avant de le plaquer de nouveau contre du béton afin qu'il lache prise sur sa jambe ensuite il le soulève pour de bon et d'un mouvement agressive suivit d'un rugissement tel un vrai bête sauvage se tourne sur lui-même à plusieurs reprises avant de l'envoyer valser en l'air qui celui-ci semble apprécier l'envol de son corps par son long grognement presque humain avant d'entrer en contact violent sur la terre pour rouler quelques mètres plus loin de sa position. Ginji toujours debout et droit empoigne de sa main gauche la manche en bois de son Shirazaya et l'arrache puissamment de son socle suivit du sang l'accompagnant dans les mouvements qu'offre la danse de cette lame illuminé, d'un air déplaisant et meurtrière marche d'un pas vif pour qu'il puisse enfin le terminer, il laisse l'autre s'occuper du dernier, au moins se serra déjà équitable pour lui avant de se prendre une nouvelle fois des tartes ensanglantés de la part de ces perdants ( je dis perdants car ils sont morts donc des perdants ^^ )

1 zombie normal à 1 point de coup

Je laisse Ziggy le reste

PS: Rofl c'est tout ce que je peux faire pour un rp ? Un petit peu cours >.<

"Bon, qui veut déguster en premier ? La grand-mère ou le nabot ?" Balança Aaron, plus pour détendre un peu ses nerfs en se foutant de leurs geules qu'autre chose.

Comme il s'y attendait, les zombies ne firent aucun commentaires, en fait il était même improbable qu'ils aient seulement compris ses paroles, et ils se jettérent sur lui comme une bande de pirahnas sur une pauvre souris. Pestant et jurant, Aaron esquiva les coups avec agilité, mais cela le contraignait à reculer ... et il se retrouva bientôt dos au mur.

"Sainte mère de Dieu, priez pour nous ...." Murmura t'il tandis que la première horreur se jettait sur lui avec l'intention manifeste de lui gober les yeux.

Heureusement, la lame d'Aaron s'interposa entre les deux personnages et la pauvre grand-mère se retrouva avec le crâne tout proprement fendu en deux. Le second zombie, bien loin d'être ému par le trépas violent et rapide de sa collégue, tenta de mordre Aaron à l'épaule. Se dernier parvint à se décaler suffisament pour esquiver la mâchoire du zombie, mais ce dernier (emporté par son élan) lui mit bien involontairement un coup de boule en pleine poitrine. Aaron, le souffle coupé et des étoiles devant les yeux, réussit à se dégager du mur et à revenir au centre de la rue.
Du coin de l'oeil il put voir Ginji en train de faire son petit massacre personnel. Pas le temps de souffler : le zombie était de retour, plus affamé, plus rapide et plus stupide que jamais. Faisant montre d'un rare sens du suicide (quoique on peut se demander si un type déja mort peut se suicider ....), il se fonça sur Aaron en hurlant comme un taré et en agitant les bras au-dessus de sa tête d'une façon particulièrement grotesque, ce qui donnait l'impression qu'il essayait, sans succé, d'imiter un singe.

Mais Aaron avait déja croisé assez de zombie pour savoir que derrière cette attitude digne d'un QI de bigorneau trisomique se cachait une véritable machine à tuer. Et c'est sans cérémonie, aucune, qu'il lui plaça un violent coup de sabre dans la jambe, lui sectionnant presque son genou gauche. Presque. Le zombie, ne sentant pas la douleur, continua de marcher sur son membre bousillé sans sembler en éprouver la moindre gêne (si ce n'est un léger boitillement) et il voulut de nouveau goûter à la chair d'Aaron, qui s'empressa de faire un bon en arrière pour éviter les vilaines dents de le toucher (et en plus, son hygiéne dentaire semblait plus que suspecte).
Un nouveau coup de sabre frappa "l'horreur" en plein dans le torse mais encore une fois le zombie ignora purement et simplement un coup qui aurait dût être fatal pour n'importe quel être vivant. Le coup suivant sectionna définitivement la jambe et le zombie tomba, comme une bouse, sur le sol ... et se mit à ramper vers Aaron.

"Mais tu vas crever saloperie ?" Beugla l'homme en tailladant le zombie au sol jusqu'à que celui-ci ne bouge plus et soit réduit à l'état de steak-haché.

"Nom de de Dieu, je peux vraiment pas blairer ces trucs." Grommela t'il les dents serrées.

Regardant autour de lui, il s'aperçut que la plupart des cadavres ambulants étaient devenu des cadavres inertes (et bien plus amochés). Il en compta huit, plus le dernier encore debout : bavant, ne s'apercevant pas de sa situation désespéré, il essayait de bouffer du Ziggy. Grommelant toujours un truc inaudible, Aaron rejoignit Ginji.

0 zombie dans mon coin.

ps : désolé pour les posts mais je post en vitesse (emploi du temps oblige) pour que le topic puisse avancer.

Invité

Ziggi Ashton

Les genoux souillés de sang en putréfaction. Beurk! Le pantalon qu’il venait d’enfiler était maintenant tâcher des globules rouges du zombi dans lequel il reposait encore. Genoux dans le torse, mains dans une flaque de liquide rouge nauséabond, chemise parsemée de gouttelette de sang, et le tout légèrement salit par la poussière lorsqu’il était tombé sur le sol. Ziggy n’avait pas sa place sur un champ de bataille. Lui, c’était le type en arrière qui supervisait le tout, ou qui échafaudait un plan, pas celui qui s’occupe du plus gros groupe d’ennemi avec un simple révolver. Le bon Dieu désirait-il sa perte? Se vengeant de la vie de pimp qu’il avait vécu? Celui qui se faisait payer pour que des femmes se fassent souiller par des hommes pas assez bien pour aucune femme. S’il s’en sortait vivant, et propre, il prierait peut-être le grand barbu en haut.

Il devait maintenant laisser tomber l’idée de son avenir de saint homme et penser à survivre présentement : Les zombis avançaient toujours. Le cadavre de leur compère ne semblait pas les gênés, ils le piétinaient comme s’il n’était qu’un tapis d’entré avec un jolie « Welcome » écrit dessus. On s’essuie les pieds avant d’aller à table, c’est bien connu.

Il jeta un coup d’œil à l’arrière pour vérifier la distance qui le séparait des zombis. Selon son œil, ils pouvaient bien être à, environ, sur lui. Il pouvait presque sentir l’odeur qui émanait de leur chair rongé par les vers. Il n’avait aucune chance de survivre : Les zombis allaient entreprendre leur repas.

Une ombre, et bang! Le bruit d’un sabre tranchant les os pourris d’un zombi accompagné de quelques coups de poings et de pieds. C’était Ginji qui venait à sa rescousse. Les zombis avaient reculés et tentait désespérément de s’accrocher à la vie, si on peut dire qu’ils soient en vie, en luttant contre le Grand. Ziggy avait maintenant le champ libre pour se relever, ce qu’il fit sur le champ. Suite à un embrochement d’un biceps appartenant à un zombi sonné, Ginji lui adressa un mot. Il voulait en apprendre sur son état de santé. Bon, deux coups de poings dans le dos, quelques éraflements aux genoux et des tâches de sang, rien de grave.

- Oui, ça peut aller.

Il commença à entreprendre une rapide toilette de ses vêtements en passant ses mains sur le tissu salit. La poussière part bien mais le sang, ce n’est pas top. Il devrait bientôt se changer avant que le sang ne commence à coaguler et attire d’autres zombis qui demandent un bon festin de chair.

Ce rapide nettoyage ne dura que quelques secondes mais lorsqu’il releva la tête, un zombi semblait vouloir gouter la cuisse de Ginji. Il leva légèrement le bras pour avertir le samouraï qu’un cadavre encore vivant désirait prendre une bouchée de jambe mais il semblait s’en être aperçut et répliqua en donnant la répartition des tâches pour les derniers zombis encore debout.

Il chercha son revolver dans sa poche mais ne le trouva pas. Il regarda autour de lui pour l’apercevoir sur le sol tout juste à coté du cadavre dans lequel le pimp reposait quelques secondes plus tôt. Il se pencha et le prit dans sa main droite et pointa le canon de l’arme en direction du zombi du quel il devait s’occuper. Il aurait voulu tuer le zombi qui lui avait donné deux coups de poings dans le dos mais il ne saurait le différencier des autres dans l’état où Ginji les laissait. Il décida donc, après mûre réflexion, que c’était celui qui se tenait au bout de l’arme.

- Meurt, salop.

Il appuya sur la détente une première fois. La balle atteignit l’œil de la victime, ce qui ne gêna aucunement se dernier qui continua d’avancer après un bref arrêt causé par le choc de la balle. Ziggy ne perdit pas une seconde et tira une seconde fois, cette fois dans l’abdomen du cadavre. Il tomba sur le dos, propulser par le choc, et y resta. Il releva son arme et souffla dans le canon comme tout cowboy qui se respecte.

Ginji semblait en avoir terminé avec le dernier ennemi encore debout. Aaron rejoint les deux combattants, sabre en main. Ziggy se tourna pour voir comment se portait le champ de bataille : Huit corps inerte sur le sol qui allait probablement rester là un moment avant que quelqu’un ne se décide à nettoyer la zone, du sang partout et des morceaux appartenant à zombi de la foule. Une belle scène de tuerie de film.

Terminé les zombis!

Bien que les autres en ont terminé de leurs combats il reste plus que ce dernier. Ginji n'a pas le temps à perdre avec lui, avançant prestement, joignant ses deux mains accroché avec délicatesse sur la manche en bois de son arme et au fur et à mesure qu'il avance il brandit lentement la lame en l'air pour arriver au-dessus de sa tête.
Quand à l'autre comme n'ayant plus de jambe pour marcher il a le don pour s'adapter aux situations, se tenant à quatre pattes comme un chien et avance à son tour vers le guerrier ne montrant aucune pitié! Balançant grotesquement ses bras abaissants sur le sol, toujours avec cette face démolit par le temps, voyant plusieurs cratères dans la peau blanche et la chair périmée, même la joue laisse entrer l'air dans la bouche, il ne s'imaginerait même pas à quel point c'est puant et dégelasse qu'il ne doit pas savoir le goût du sang, déprimant pour eux il vaut mieux ne pas devenir comme eux ça doit être souffrant de vivre ainsi...

Mais tout va prendre fin.

Il arrive, avec sa lame purificatrice, attendant que son prochain victime arrive à ses pieds avant de lui montrer le chemin vers le paradis. Sous le grognement de ce dernier membre du groupe des morts il peut apercevoir et toucher une dernière fois son repas, approchant dangereusement sa tête pour croquer ou tenter arracher ce tendre chair, goûter une dernière fois avant de quitter ce monde cruelle et dommage pour lui avant qu'il ne se rend même pas conte qu'il est déjà terminé ce même sifflement qui fait froid dans le dos retentit de nouveau, la lame se retrouve parallèle au sol le plat vers le bas avec du sang sur le bout du tranchant de son Shirazaya, la tête commence à tomber lentement, séparait de son corps inerte. Ginji vient de lui trancher pour abréger sa souffrance par sa rapidité comme s'il était le faucheur privant de leur vie sur terre.

Le corps reste au sol, remuant sa jambe pour le faire lacher prise, brandissant de nouveau son katana et d'un geste brusque enlève tout ces goûtes de sang qui tache sa splendeur. Se retournant pour aller chercher son fourreaux qui se trouvait près de Ziggy, au même point de départ depuis le début, l'attrapant de sa main gauche puis avec sa main droite le rangeant avec délicatesse avant de laisser ce léger bruit de contact entre les bois et observe autour de lui pour constater qu'il n'y a plus personne mis à part les vivants bien entendue. Nos trois survivants s'en sortent avec peu de dégâts, enfin pour certain... Mais le résultat est que personne ne risque pas de devenir un zombie, regardant le jeune blond avec tout ce qu'il y a de plus répugnant sur ses vêtements puis son visage qui n'affiche pas la joie d'être encore en vie, il est normale pour quelqu'un qui n'est pas fait pour ce genre de situation néanmoins il a pu vivre l'action intense, c'est mieux que rien, au moins la prochaine fois il en fera tout autant qu'aujourd'hui.

Aaron les a déjà rejoint, une petite réunion avant de partir pour de bon au manoir:

"neuf zombies de moins, Ziggy vous êtes toujours entier et elle serra ravi de vous voir sain et sauf, néanmoins il faut se presser si les zombies sont arrivés si vite il faut s'attendre au pire, ce coup-ci c'était facile mais la prochaine fois ça reste à voir, prévoyez le pire scénario... Partons le temps nous est compté!"

Et enfin nos trois rescapés fonce droit dans les ruines, utilisant ces obstacles pour éviter de se faire repérer, tentant d'éviter tout les rencontres avec ces horreurs, plus vite ils atteindront la route plus vite le danger en serra écarté, et encore se serra pas une partie de plaisir... S'ils avaient le moyen de transport ça va être du gâteau mais ce n'est pas le cas et faut pas se faire remarqué, surtout que Ziggy mériterait d'être envoyé à l'hôpital avec tout ces taches de sang sur lui, c'est inquiétant de le voir dans cette état, mais comme il se sent en forme il préfère renier cette idée qui est à la fois désastreuse et embêté de le voir devenir un zombie, ne pas accomplir sa mission c'est ça plus grande défaite, néanmoins il semble que son attitude reste le plus normal qu'il soit. Mais assez de remarque il doit se concentrer sur de ce qui se passe en face de lui, et pour l'itinéraire il faudrait voir avec Aaron qui lui semble savoir où il va, de tout façon pas le choix il faut suivre l'éclaireur s'ils n'ont pas envie de se frotter de nouveau avec leurs copains les morts-vivants.

Ca fait combien de temps qu'ils ont couru ? En tout cas il espère voir la route avant de se faire prendre, même il n'a pas envie de rencontrer d'autre personne, juste foncer c'est tout, il n'y a que ça qui compte et après tout il faut garder la foie, même si Ginji n'y fait pas trop de croyance mais son caractère lui ferra garder la tête froide jusqu'à leur destination... Enfin pas d'autre zombie tout de même

Plus de zombie à s'en faire ^^

Marcher, marcher et marcher encore, sans oublier de dissumuler sa carcasse derrière ce qui avait été autrefois un mur, une voiture ou bien un piano. C'est d'ailleurs derrière un piano littérallement bouffé par les vers et la moisissure qu'Aaron se trouvait à présent. Devant lui, le premier espace dégagé de taille conséquante qu'il ait vu depuis un sacré bout de temps. Derrière lui, Ginji le samouraï et Ziggy "Gachette Facile", tout deux au moins aussi pressés que lui d'en finir avec cette mission à la con.

Parceque franchement, courir la nuit, dans une ville pleine de zombie, avec pour seul avenir survivre ou mourrir, franchement, il s'en serait bien passé. Aux zombies et autres choses "adorables" peuplant le coin, on peut également ajouter à la liste des "trucs sacréments emmerdants" le froid, l'odeur de cadavre porté par le vent, la transpiration rendant ses vêtements inconfortables, les points de côté, les bleus, les entailles diverses et variées, le tout agréablement agrémenté d'une magnifique pleine lune leur garantissant d'être repéré par le premier pélerin venu si jamais ils décidaient de s'aventurer sur le terrain à découvert.
Alors, non, Aaron n'était pas heureux d'être ici, là, à cet instant précis, avec ces gens là (bien qu'il n'ait rien contre eux), dans cette situation et avec cette foutue pleine lune.

Un bruit de verre brisé résonna au loin, vibra dans l'air un instant puis retourna au néant. Le front moite, les paumes également, les nerfs à vifs mais maîtrisés, Aaron compta mentalement jusqu'à vingt-cinq, lentement. Lorsque il eut finit de compter, il prit trois brêves et rapides inspirations, puis il s'élança furtivement en avant, courant à en perdre l'haleine sans pour autant oublier d'étouffer au maximum le bruit de ses pas sur le bitume. Ses yeux balayérent la zone autour de lui rapidement, sans s'attarder, ne notérent auncun mouvement suspect et se reconcentrent sur l'objectif : la carcasse carbonisée d'une voiture, laquelle était retournée sur le toit, représentant le seul abri tangible à plusieurs dizaines de métres à la ronde.

Sans se soucier des égratignures que cela allait lui faire gagner, Aaron se jetta en avant et effectua une ultime roulade qui l'ammena sous la voiture. A plat ventre, le souffle saccadé et la poitrine brûlante, ses jambes lourdes comme du plomb, il s'accorda un bref répit puis effectua de nouveau un repérage des alentours afin de vérifier qu'aucun zombie n'avait ramené son nez dans le coin durant son action. Instant de stress intense, suivit d'un soulagement réconfortant lorsque il fut assuré qu'aucun cadavre ambulant ne se balladait dans le coin.

Songeant soudain à ses compagnons, il porta ses deux mains en cône devant sa bouche pour amplifier sa voix, puis il imita le hullulement d'une chouette (animal ne vivant pas dans le coin, donc ses amis savent automatiquement que c'est lui et non une bestiole qui leur cause) , signal censé permettre de dire à ses alliès que la voie était libre pour le moment sans avertir les zombies de sa présence. Mais cela se basait sur l'hypothése que les zombies ne mangent pas de chouettes, ou encore qu'ils sont trop stupides pour faire le lien entre le cri de la bestiole et la bestiole en question, c'est à dire qu'ils n'ai pas dans la tête la formule : cri = animal = bouffe = aller voir pour bouffer.

Après avoir passé le signal, Aaron resta couché, bien à l'abri sous sa bagnole, une main prête à sortir son arme à feu si besoin était. Dans un coin de sa tête, il s'accordait un peu d'optimisme : après la bagnole, un vide de quelques dizaines de métres, puis deux ou trois ruines d'immeubles, et après la route pour rentrer au QG des Krönes.

*Un whisky ... dés que je rentre, je prend un whisky. Juste après le bain. Non. Pendant. Ouais, un bon verre de whisky dans un bon bain chaud, ça vous requinque un homme.* Pensa t'il en attendant ses compagnons.

[un post rapide pour débloquer le rp, désolé pour l'attente]

Invité

Ziggi Ashton

Une allée remplit de sang et de cadavre plus mal en point les uns que les autres. Une jolie scène qui manque cruellement d’être égaillée par de valeureux soldats armés d’épées digne d’Excalibur portant sur leurs épaules une armure incrusté d’or et de rubis combattant pour la paix et la parole de Dieu. Malheureusement, cette scène ne pouvait être imaginé que sur tableau. Car l’œuvre qui se tenait devant le grand homme armé d’un katana dans des vêtements qui n’ont rien à voir avec une armure, l’autre mec tenant lui aussi un katana blessé par un zombi plus rapide que les autres et le pimp qui était habillé, autrefois, chic couvert d’un sang qui est le mélange entre le sien et celui d’un mort avec comme arme un chargeur remplis au quatre cinquième de sa capacité, cette œuvre qui était devant eux n’en était aucunement une.

Ziggy en avait terminé avec son zombi et contemplait le champ de cadavre qui se dressait devant lui. Tout ceci ferait mauvaise pub à l’hôtel derrière eux. De plus, l’odeur du sang et de la chair allait probablement attirée d’autres visiteurs de la même espèce, et une fois la viande bien digéré, le plat principal se tenait derrière une porte de bois…

Aaron apparu dans le champs visuel de Ziggy en compagnie de Ginji qui s’affairait à faire un bilan de la situation. Ils venaient à peine de risquer leur vie en luttant contre une horde de momie et ils devaient déjà repartir pour aller rejoindre la princesse dans son château? Il aurait bien eu envi de les inviter à prendre le thé mais le Grand en avait décidé autrement. Aaron partit le premier dans les ruines suivit peu de temps après par le duo qui fermait la marche. Se déplacer était difficile avec le sang en coagulation dans les fibres du pantalon du tireur, enfin non, aucunement, c’est surtout qu’il tentait le plus possible de ne pas toucher cette mixture nauséabonde. La course sera encore plus dur lorsque le sang sera totalement coagulé mais encore plus dur, le sang allait probablement attiré d’autres compagnons, et on ne parle pas des compagnons de la forêt, loin de là. À moins que cette forêt soit hanté de cadavres et de monstres à moitié mort.

Les voilà donc en marche vers le château d’émeraude en parcourant le chemin de briques jaunes. Ziggy, le lion sans courage, Ginji le… bon, disons le robot sans cœur qui tue sans pitié et Aaron le… Il ne resterait que l’épouvantail sans intelligence et la fillette mais, pour le bien de la cause, inventons un personnage qui n’a pas un défaut trop apparent. Donc, ces trois personnages s’enfonce vers la cité d’Émeraude en passant d’abord par un chemin sinueux en tentant de se cacher de la vilaine sorcière, les zombis.

De nombreux arrêts. En fait, on pourrait plutôt dire de rare moment de course, selon le point de vue comme le verre d’eau à moitié plein ou à moitié vide. Se cachant derrière des poubelles renversés, une moitié de maison et une automobile retourné attendant l’appel d’Aaron pour leur indiquer que la voie est bien libre. Tantôt le jappement d’un chien, plus tard le cri d’un oiseau de proie.

Dans les vêtements sales qu’il portait, Ziggy se sentait infiniment mal. En plus de sentir le mouvement du sang le long de sa jambe, l’odeur donnait des haut-le-cœur à la petite nature du fils de riche. Il avait envi de vomir lorsqu’il devait se pencher derrière un ancien meuble de bureau et sentir l’odeur de cadavre en putréfaction qui émanait de ses vêtements. Il se demandait comme Ginji faisait pour endurer ça…

Le signal d’Aaron se fit entendre : le hululement d’une chouette. Ils avancèrent encore de quelques mètres pour rejoindre Aaron qui était sous une voiture. Ils avancèrent encore de cette façon pendant un moment avant de pouvoir apercevoir la route au bout d’une ruelle.

[hop dsl du retard mais j'ai terminé, quoi que essayons de terminer de topic trois en un pour passer à autre chose]

Nos trois fugitifs continuent toujours leurs marathon à travers la ruine, de temps en temps s'arrêtent et après repartent de leur cachète qui n'est que éphémère. Ce qui est hallucinant c'est qu'ils n'ont pas encore rencontré de zombies ou des survivants... Quoi que eux très peu de chance tout le monde connait le pourquoi. Cependant il aurait bien imaginé le pire scénario à prévoir du genre une horde de zombies leurs tombent sur la tête et commence à les attaquer, en y réfléchissant bien à trois pour s'en sortir vraiment maximum 11 ou 12 têtes pour eux et encore prévoir des blessures légers, s'il y avait des zombies pires que... Les zombies ça changerait les choses, genre un être moins stupides et plus puissant que le banal ça vaut un vétéran ça, d'après la dernière fois qu'il s'était fritté avec eux et sérieusement c'étaient des adversaires dignes de son niveau, rien à voir avec le combat qui s'était précédé il y a peu de temps Oh non là vraiment il avait des sueurs sur son visage, démontrant un combat intense et inhumain! Montrant par la sueur ? Remarque il ne sue jamais dans des situations à haut risque mais à cette époque c'était quelque chose de rare à voir de sa part, Minato en a bavé là-dessus, utilisant tout le potentiel qu'offre son corps et son art devenant comme un croquemitaine, avec ce sourire sournois et proche d'un psychopathe, à voir pour certain qu'il aurait vue Kazuo Kiriyama dans battle Royale version géant...

Encore une nuit assez pénible, illuminant le sol, si l'on est attentif des ombres furtifs se déplaçaient de façon irrégulière, d'un coup ils s'arrêtent et voilà qu'ils repartent, c'est bien marrant si l'on observe de là haut... Heureusement pas de soutient aérien des Américains sinon coup de Sabot de 40mm, 75 ou voir la plus grosse calibre le 125mm, ça démolie à coup sûr un bâtiment et son entourage! Les équipages vont s'éclater, c'est comme sur un jeu vidéo, se retrouver devant son écran de couleur noir et blanc et là: BIM BAM BOUM! Hoho Jolie tir! Oué tu l'as eu! Aaaaah y a trop de morceau qui vole! Tu parles du bordel...
Ca normalement personne ne devrait savoir, mais lui oui, il faut se dire que son ami d'enfance lui a fait découvrir un peu de l'informatique et une vidéo qu'il avait piraté et que c'était l'un des rare exemplaire conservé dans l'archive, un plaisir de le regarder mais en même temps c'était trop lâche, trop facile d'éliminer une cible, même lui il ne verrait pas arriver, le temps change et il faut s'y faire avec. La guerre froide à fait des progrès, surtout en armement, maintenant les armes classiques du genre épée que l'on se battrait au corps à corps vous ne verrez plus ou occasionnellement, pas rarement mais c'est comme si cela n'existait pas et même plus dans ce nouveau monde. Mais comme par pure miracle l'usage de ces armes médiévales ont repris leurs mains, Ginji avait apprécié ce dépaysement sur cette île se trouvant pas trop loin des côtes de l'Amérique.

Bien qu'ils continuent encore leurs course et voilà que Aaron est partie de devant pour jouer de nouveau le rôle d'éclaireur, quand à eux deux c'est juste resté à l'écart, sous l'ombre et attendre, Ginji était en premier pour voir ce qu'il était en train de faire, passant légèrement sa tête voyant son coin de son oeil à travers ses lunettes apercevant l'homme que l'on pourrait dire furtif et enfin donner le signal et là il a un tille particulier, voyant légèrement une veine sortir sur le côté de son front, démontrant sa colère envers lui:

C'est pas possible ça... Quelqu'un comme lui donner un signal comme ça, les gens de nos jours ne sont pas aussi bête que les animaux, un signal sonore c'est vieux!

En fait en tant que professionnel jamais mais jamais faire ce genre de chose, le silence est une chose sacrée! C'est comme blasphémer dieu... Quoi qu'il n'y croit pas mais tout de même s'il est un tueur au moins pas quelque chose comme ça, un signe avec la main c'est une minimum de chose à faire, même si ce sont des zombies leurs ennemis il faut savoir que ça n'attirera pas eux mais sûrement autre chose, dans une ville une chouette, pas mal la blague sauf que là il faut arrêter les bêtises. Attend lorsqu'ils seront au QG il va y avoir un entretient entre eux ça va vite se comprendre mais pour l'instant il va se retenir.

Un petit geste pour Ziggy pour le faire passer de devant pour ensuite le suivre de derrière une fois qu'il est à couvert, voilà de nouveau réunit sous la voiture, quoi que Ginji ne participe pas trop à ça, juste collé contre la capote poussiéreuse, le bruit ne se fait pas entendre au moins, parfait. Il ne reste plus qu'à foncer à travers pour rejoindre la route direction la maison, bon le manoir mais pour beaucoup de monde ça reste leur maison. Un peu de courage ça va bien se passer il faut pas penser les choses négatifs, même pour un samurai il arrive parfois de paniquer, bon en fait Ginji panique tout le temps mais on le voit pas, c'est une habitude qui le cache depuis fort longtemps, par contre ce qui n'est pas logique pour certain est qu'il n'a pas peur, c'est une émotion inutile qui ne fait que gêner, le sang-froid doit être fort chez lui pour ne pas avoir peur ou alors qu'est ce qu'il est difficile à comprendre dans sa tête...

Mais bon s'il se rappel bien c'était bien par là qu'ils avaient emprunté lui et Aaron pour venir chercher le petit blond, donc tout ce qu'il y a à faire c'est foncer à travers cette énorme place vide pour atteindre ce bâtiment détruit pour marquer un bon moment de pose avant de faire une marche hâtive vers le manoir. Un petit tape pour Aaron pour lui dire que c'est finit la pause pour reprendre la course.
Et voilà de nouveau repartie juste pour quelques secondes en plus vers un coin à l'abri des regards, il commence à avoir un peu marre de cette course au cache-cache. Un moment de pause, de la buée qui sort du bouche de chacun de ces compagnons et ainsi lui aussi, figeant l'odeur de leur halène par le froid.

Ginji se tourne vers Aaron et pose sa main libre sur son épaule, signe de réconfort et du bon boulot qu'il a pu fournir malgré de certain erreur mais ça peut vite s'arranger. Encore un peu, oui juste avancer sur la route tout en espérant ne pas tomber sur autres que les membres de leur clan. La pause est terminé Ginji fait signe d'un départ imminent, sans tarder il s'y met à marcher sur la route, suivit de ses deux compagnons, gardons de l'endurance pour un cas du genre tomber dans une embuscade ou autre afin de s'y préparer vraiment à un combat et que dieu ne leur tombe pas dessus... Même s'il n'y croit pas en lui.

[HRP : il fait nuit ... je doute qu'un signe de la main soit super efficace, surtout sur une longue distance >_>. Au fait, j'accélére un peu l'histoire sinon on sera encore sur ce topic dans deux mois]

*Marre, ... marre, marre marre marre MARRE !* Voila ce que pensait inlassablement Aaron tout le long du trajet.

Ses pieds commençaient à être douloureux, phénoméne accentué par le fait qu'il ne disposait pas de chaussures de marche dignes de ce noms, mais bon il avait prit ce qui restait. De plus, son manteau ne lui tenait pas assez chaud et il ne pouvait s'empécher de frissonner à chaque coup de vent glacial qui balayait le secteur. Il fut même forcé de retenir deux ou trois éternuements qui auraient put mettre à mal leur relative furtivité. Trop agacé par cette mission qui s'éternisait, Aaron commençait sérieusement à avoir envie de prendre un chemin menant directement au QG, quitte à se frayer un chemin au beau milieu d'une horde de zombies à grand coup de katana.
Bien entendu, ces pensées n'avaient pour rôle que celui de soupape lui permettant d'évacuer sa mauvaise humeur sans la faire jaillir sur ses compagnons.
Réprimant un nouveau frisson, Aaron observa la route s'ouvrant devant eux : telle un serpent d'asphaltes s'enfonçant dans l'obscurité de son trou, la route disparaissait petiti à petit dans les ténébres de la nuit.

-Une route vers l'enfer. Murmura Aaron en observant le sinistre chemin à parcourir.

Ici, pas de protections, pas de cachettes ... uniquement des zones découvertes. Pour survivre, plus qu'une solution : la vitesse et en finir au plus vite avec le stress, la peur, l'appréhension et cette foutue angoisse qui ne le quittait plus. Augmentant la vitesse de son pas, ses sens toujours aux aguets afin de détecter la moindre menace et la main prête à saisir son katana aux moindres soupçons, Aaron poussa ses compagnons sur la route, les soumettant à un rythme soutenu. Aaron pensait Ginji largement capable de le suivre, mais Ziggy avait peut-être plus de mal, ou pas. Le jeune homme l'avait surpris durant la bataille et il avait décidé d'émettre un jugement sur lui plus tard, se contentant de noter ce qu'il observait dans un coin de sa tête.

Bref, c'est donc en marchant rapidement que les trois compagnons finirent par rejoindre, au bout de leurs forces, le QG des Krönes, sans avoir croisés de nouveaux zombies. Traverser la forêt ne fut pas une partie de plaisir, le manque de visibilité rendant Aaron encore plus paranoïaque que d'habitude et ses nerfs commençaient à être à vif, ce qui n'était pas dans ses habitudes.

*Se battre contre des zombies ou lutter contre des gangs, ça n'a rien à voir. Putain, je hais ces trucs !* Pensait t'il lorsque le manoir Kröne apparut, enfin, devant leurs yeux fatigués.
Et c'est avec une certaine raideur qu'Aaron accompagna Ginji et Ziggy au bureau de "la grande patronne", au sens littéral et figuré du terme.

[Ziggy> Plutôt que de poster à la suite, je pense qu'il faudrait plutôt que t'ouvre un topic chez Bertha, mais je suis pas sûr ^^ fais comme tu sens. Si problème rapport à mon rp => MP et j'arrangerais.]

=> "Retour de mission" (manoir Kröne)

» Retour au campement...(libre)